J’ai pris un certain temps ce soir pour lire la production considérable d’un bon ami à moi sur Facebook. Il écrit très bien, plusieurs observations sont jouissives. Comparer ma plume d’ingénieur mal dégrossi à la sienne m’enlève sérieusement le goût d’écrire ; n’ayez crainte, chers deux lecteurs non-récurants, je persévérerai. Ce qui me chagrine, me soûle, me déprime au plus haut point ce sont les commentaires tous plus débiles les uns que les autres. Comment se fait-il que ces abrutis ressentent le besoin de flétrir par leurs âneries les textes bien ficelés de mon ami ? Je vous laisse sur cette perle de médiocrité inutile hors contexte d’un pseudo-intellectuel sinisant à la mode capitalistico-maoïste (que je les hais) :
Les convictions, c’est l’anti-spiritualité non ? Soyons plus chinois ; un intellectuel courageux c’est d’abord celui qui est prêt à se remettre en question, et (sic) ses convictions par ricochet.
PLQ Delenda Est.