Une folie diversitaire

M. Bock-Côté nous apprend que le journal métro nous apprend que la Ville de Montréal entend se convertir officiellement à l’écriture inclusive. Ceci devrait être illégal. Que je sache, la Ville de Montréal ne contrôle pas l’orthographe ni la langue française. Celle-ci est définie par l’Académie française et l’Office de la langue française du Québec. Dans les deux cas, l’écriture dite inclusive (c’est un oxymore total ) n’est pas acceptée.

Il faut avoir pitié des pauvres fonctionnaires qui seront obligé d’écrire ce charabia informe. N’oublions pas que les logiciels de correction de la langue ne sauront plus corriger les textes des fonctionnaires analphabètes (ça promet ). Il faut aussi avoir pitié des citoyens qui devront soit ignorer ces textes — c’est mon intention, je ne lis aucun tel texte, ça donne mal à la tête et c’est laid ; cette écriture n’est donc pas si inclusive qu’elle le prétend ; je considère aussi que quiconque écrit de cette manière n’a rien à dire qui mérite d’être lu — où se faire mal au goliwok à essayer de déchiffrer les nouvelles inepties de l’administration Plante.

À bas les diversitaires.

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Rage au guidon

Je vais réagir à chaud à la nouvelle qu’on retrouve sur le site de Radio-Canada d’un cas de rage au volant à vélo. Un cycliste aurait tabassé plusieurs baies d’un autobus. Sur une des photos, on voit le vélo devant le bus et plusieurs coups assénés dans les vitres du véhicule.

Bon, je n’y étais pas et on peut difficilement blâmer qui que ce soit à distance après coup. Je voudrais cependant exprimer deux choses qui se recoupent :

1) Les autobus ne respectent pas les vélos et leur rendent la vie parfois difficile et dangereuse. J’ai moi-même eu plusieurs fois envie de tabasser les chauffeurs d’autobus — une fois en particulier où on m’a poussé dans le banc de neige et j’ai bien failli passer sous les pneus du bus. Leur comportement est souvent carrément criminel. Naturellement, personne pour constater ces infractions.

2) Nous jugeons trop souvent la rage au volant, sans jamais parler de ce qui a amené le pauvre cycliste à péter les plombs. Essayer pour voir de vous déplacer à vélo et de de vous faire tasser contre le trottoir où la chaussée est pleine de trous qui la rendre carrément non carrossable par un bus qui essaie de rattraper son horaire. Vous verrez, on se sent plus que menacé, on est carrément mis en danger par ces mastodontes. Je suis surpris qu’il n’y ait pas plus d’incidents. Bref, cessons de juger les cas de rage au guidon et jugeons un peu le paquet d’abrutis qui amène l’honnête citoyen à disjoncter.

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Une solution pour les pitbulls

Mme Bombardier nous parle de la réaction de l’administration plante face à l’euthanasie d’un pitbull. C’est en effet peu reluisant. L’une des rares bonnes mesures de l’administration Coderre a été démantelée en quelques jours. Depuis, un amalgame de demi-mesures qui ne protégeront jamais les citoyens, puisque les chiens seront pris en charge après un évènement violent seulement et encore, on vient de le constater, bien faiblement.

Mme Bombardier nous parle aussi des policiers qui ont eu plus de scrupules à descendre le chien qu’ils en ont à descendre les sans-abris. Peu étonnant du spvm.

Personnellement, je demande, y a-t-il un mécène prêt à payer 500 $ du scalp de pitbull, rottweiler et autres calamités ? Enfin, un sport auquel je voudrais m’adonner.

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Non, tous les chiens ne sont pas égaux

Bonne chronique de Jean-Robert Sansfaçon sur les pitbulls et la responsabilité de l’administration Plante. Nul doute que nous sommes entièrement d’accord avec lui. Sauf lors de sa comparaison avec les propriétaire d’armes à feu. Celles-ci, par la loi, même lorsque rangées dans une armoire sous clefs, doivent être entreposées avec l’équivalent d’une muselière. Toute arme doit en tout temps avoir un cadenas qui empêche son utilisation.

J’aimerais ajouter à la chronique de M. Sansfaçon que les Pitbulls ont été créés à l’origine pour combattre d’autres chiens, mais aussi les taureaux. Ce ne sont clairement pas des chiens normaux.

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Enfin une consultation sur le racisme à Montréal

Je ne pense pas ce que vous croyiez. Enfin, une consultation sur le racisme systémique envers les Québécois dans leur propre métropole, voilà ce qui est nécessaire. En effet, j’espère qu’on traitera des sujets suivants :

Dernièrement, on a déboulonné une plaque commémorant une bataille entre Français et Iroquois parce qu’il était dit que Maisonneuve avait tué lui-même un chef iroquois. Vrai ou Faux, pas le droit de dire du mal des Iroquois (allié des nos ennemis de toujours). Cette semaine, la ville de Montréal nous apprend qu’elle ne retirera pas une statue vandalisée de MacDonald. Pourtant, ce M. était un incroyable anti francophone et anti catholique qui a systématiquement tout fait pour nous assimiler. Mais bon, ce n’est pas un francophone, alors pas touche. Voilà un exemple de racisme envers les Québécois.

La ville a décidé de précipiter la minorisation des Québécois dans leur propre métropole. On commence par déclarer Montréal ville refuge signifiant que tous les immigrants illégaux pourront maintenant venir vivre à Montréal sans contrainte. Mais, apparemment, ce n’était pas suffisant, on souhaite maintenant leur donner le droit de vote, question en plus de minoriser le pouvoir des Québécois dans leur propre métropole. Normalement, ne devraient voter que les citoyens ; je dirais même plus, que les citoyens nés sur le territoire du Québec. Comment peut-on penser que des gens fraîchement arrivés, qui ne parlent pas la langue, pourraient être à même de voter ?

Comment ne pas parler cette fascination qu’ont nos médias avec la diversité ? Pourquoi les immigrants seraient-ils représentés à l’hôtel de ville ou à l’assemblée nationale selon leur proportion ? Après tout, dans la vie, pour s’intégrer il faut des contacts, des relations. Comment des gens qui ne lisent pas nos journaux, n’écoutent pas notre télé, ne parlent pas notre langue pourraient-ils participer à nos débats ? Après tout, les jeunes aussi sont moins représentés à l’hôtel de ville et à l’assemblée nationale. Mais ça, on ne le remet en question que mollement, pas fondamentalement ; car on accepte que les jeunes n’aient pas assez d’expérience pour faire de la politique : il faut de l’expérience et des contacts deux choses que n’ont pas les jeunes. Comment peut-on sérieusement aspirer à devenir ministre à 18 ans ? Mais, apparemment, c’est d’être raciste (cette fois-ci contre les immigrants) que de croire qu’un immigrant fraîchement débarqué qui ne parle pas le français ne puisse pas être ministre. Je dénonce donc cette manière de penser et je la pointe du doigt comme étant du racisme contre les Québécois. On nous trouve tellement minables que le dernier immigrant illettré peut devenir ministre, mais pas nous.

Finalement, les dispositions favorisant l’embauche des immigrants à la ville nuisent aux Québécois. À chaque fois que je visite un ami travaillant à la ville à son bureau, je suis fasciné d’y voir le nombre d’immigrants. À vue de nez, plus d’un sur deux. Ce sont de bons emplois, bien payés, qui sont donnés en priorité aux immigrants. Certains d’entres-eux bien incapable d’écrire un document en français. La discrimination positive est dans les faits, une discrimination négative contre les Québécois chez eux.

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Un coup d’épée dans l’eau

La ville de montréal demande au gouvernement fédéral d’interdire les armes de poing et les armes d’assaut.  Non pas que je sois contre l’initiative, mais je ne crois pas qu’une telle interdiction aura une influence sur le nombre de tueries.  Il faut comprendre que les armes sont divisées en trois catégories :  les armes non restreintes, les armes restreintes et les armes interdites aux civils.  Les armes non restreintes sont, grosso modo, les armes de chasse.  Soit, il y a quelques armes qui n’ont pas d’utilité pour la chasse et qui mériterait d’être reclassées restreintes — des fusils d’assaut moderne modifiés — mais, globalement, ces armes ont une utilité sportive ou essentielle pour de nombreux pères de famille qui les utilisent pour ajouter un supplément de protéine à leur quotidien par la chasse.  Les armes restreintes sont des armes qui n’ont pas d’utilité pour la chasse, mais qui ont une utilité pour le tir (pistolet et autres armes de plus fort calibre ou de portée très longues).  Est-ce que la liste des armes restreintes devrait être nettoyée ?  Sûrement.  Faudrait-il interdire le tir dans les clubs ?  Je ne crois pas.  

Il faut savoir que les armes restreintes requièrent un permis spécial, une formation spéciale et que pour les posséder, il faut absolument être membre d’un club de tir et que l’arme n’a le droit d’être transportée qu’entre son domicile autorisé et le club de tir.  Bref, ce n’est clairement pas une arme de chasse et ces armes ne sont pas considérées comme des armes de chasse par l’état.  J’ai eu la chance de faire du tir au pistolet quelques fois et j’ai adoré.  Je détesterais me faire priver de ce plaisir dans le futur.  

Maintenant, combien des tueurs qui ont commis des tueries avaient des armes légales ?  C’est à dire enregistré en bonne et due forme ?  Je serais surpris si la proportion était élevée (je l’avoue ici, je n’ai pas de chiffre à donner), surtout lors des tueries dans les rues de Toronto qui ont eut lieu dernièrement.  Si j’ai raison, interdire les armes restreintes ne changera rien aux tueries, ces armes venaient déjà du marché noir.  N’oublions pas qu’aux É.-U., se procurer une arme est un jeu d’enfant.  N’empêche, en terminant, je ne suis pas contre les contraintes imposées aux propriétaires d’armes à feu, restreintes ou non.  Ce qui m’embête, c’est qu’on transforme en criminel — ce n’est pas une exagération, puisque sous l’ancien registre des armes à feu, le chasseur qui oubliait de renouveler son certificat d’enregistrement pour un banal fusil à un coup hérité de son père, obtenait un beau casier criminel, et ne pouvait donc plus voyager aux É.-U., par exemple — d’honnêtes citoyens pour des peccadilles administratives.  Un oubli administratif mérite une pénalité financière, pas un casier judiciaire.

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La STM semble vouloir suivre l’une de nos suggestions

En février de 2017, j’écrivais une petite chronique sur ce que je ferais avec les centaines de millions que voulait investir la STM dans l’accessibilité. Je défendais plutôt la transformation des quais pour imiter la ligne 14 de Paris. Et bien voilà que la STM commence à vouloir étudier le projet. Toute l’équipe éditoriale de plqdelendaest est bien fière d’arriver à infléchir les évènements.

Naturellement, la STM prétend vouloir protéger les suicidés, mais pensons à tous les graffiteurs qui vont sur les lignes. Nous sauverons un temps considérable si ce projet se réalise. Peut-être recommencerais-je à prendre le métro ?

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Attention Mme plante

Je suis bien d’accord avec ce monsieur qui dénonce l’administration plante qui préfère attaquer le Québec et le fait français à Montréal plutôt que de le défendre. J’ai moi aussi voté pour Mme Plante, en grande partie pour me débarrasser de M. Coderre ; et un peu pour la ligne rose. Mme Plante m’apparaissait moins nuisible que ce dernier, qui pour beaucoup de québécois, semble plus être un gros épais d’Italo-Canadien qui organise des soupers spaghetti qu’un Québécois. Cependant, force est de constater que Mme plante préfère livrer le territoire montréalais aux Mohawks, les alliers des Anglais depuis l’arrivée des Européens ici, en Amérique du Nord.

Mme Plante ferait bien de regarder la carte électorale. Ce n’est pas bien compliqué : les francophones ont voté pour elle. Les immigrants et les Anglais pour M. Coderre. Le lendemain de son élection au bureau, le clivage était évident. Les francophones étaient tout sourire et les immigrants faisaient la gueule. Peut-être qu’elle devrait flatter un peu mieux ceux qui ont voté pour elle.

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Des arguments saugrenus

Ça y’est, l’administration Plante a fermé à la circulation est-ouest le cheminCamillien-Houde. Personnellement, je suis mitigé face à cette décision. Mais le principal problème que je vois est les arguments soulevés pour une telle décision qui m’apparaissent tous faux.

L’administration Plante a dit plusieurs fois que plus de 90 % de la circulation sur cette route ne faisait que transiter par cette route. J’aimerais connaître la proportion de trafic transitoire sur l’autoroute métropolitaine à la hauteur de Saint-Laurent. Probablement en arriverions-nous à la conclusion qu’il faut fermer un tronçon de l’autoroute 40 à la circulation à cette hauteur. On peut arriver de l’est et sortir à Saint-Denis, mais on ne peut continuer plus loin, et arriver de l’ouest et sortir à Saint-Saurent. Ça m’apparaît correct. Bon travail, on se retrouve au bistrot pour célébrer l’amélioration de la qualité de vie des riverains.

Pourtant, si les automobilistes empruntent cette voie, il doit bien y avoir une raison ? Serait-ce la quantité de construction qui rend la traversée de la ville d’est en ouest pire qu’un chemin de croix ? Ou encore le fait que ce soit le seul chemin où il y a moins de 240 feux rouges d’est en ouest ? Je sais que ce sont exactement les raisons qui font que j’emprunte moi-même ce chemin.

Ne me parlez pas de l’accident entre un cycliste une voiture. Interdire la circulation d’est en ouest sur l’axe Camillien-Houde n’aurait jamais empêché ce garçon de rouler trop vite (comme le font énormément de cyclistes à cet endroit) ni à l’automobiliste de faire un virage en U, comme le font énormément d’automobilistes à cet endroit. Personne ne me fera croire que ce jeune homme n’a pas eu le temps de freiner alors qu’il aurait supposément respecté les limites de vitesse. À 50 km/h, quand on regarde en avant, on a le temps de freiner quand un highlander change de voie. Je me suis souvent fait dépasser à vélo, par d’autres cyclistes, alors que je roulais à près de 70 km/h en descente et à cette vitesse, peut-être peut-on être surpris par un véhicule, quel que soit sa grosseur.

Bref, bloquer la circulation ne réglera rien et tout ce trafic qui ne pourra plus y passer se déversera dans les rues voisines et empoisonnera la vie des riverains.

En échange, de la circulation automobile dans un parc, ce n’est pas génial. Peut-être faudrait-il creuser un tunnel sous le Mont-Royal ? Pas donné, mais à coup sûr utile. Bref, je ne suis pas contre l’amélioration de l’ambiance du parc, mais je ne suis pas dupe des raisons invoquées par l’hôtel de ville.

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Une politique parfaite d’insalubrité publique.

Voilà très longtemps que je souhaite publier cette chronique. Je l’ai en tête depuis l’ère Coderre (un autre libéral haïssable) à Montréal.

Commençons par dire que je suis profondément écolo. Quand j’étais jeune, déjà il y a des décennies, nous recyclions alors que ce n’était pas encore à la mode. Il nous fallait faire un détour pour aller mener notre recyclage à l’autre bout de la petite banlieu où je suis né. Puis, arrivé à Montréal, j’allais mener mon recyclage dans des cloches où l’on s’écorchait les doigts pour y pousser nos rebuts l’hiver par moins vingt degrés (fallait quand même être convaincu des bienfaits du recyclage). Bien sûr, j’essaie de diminuer ma consommation, réutiliser et tout le bataclan. Plus récemment, j’ai utilisé pendant quelques années une compostière artisanale fournie par l’éco-centre. C’était pratique, pas trop loin de chez-moi, je pouvais donc y aller régulièrement et je pestais que nous ne puissions pas l’utiliser l’hiver. J’ai participé jusqu’à ce quelle-ci soit si loin qu’il me fallait prendre ma voiture. Bref, je pense avoir un côté écolo.

Cependant, je suis contre le bac brun et la nouvelle collecte des matières périssables. Je ne suis pas contre l’objectif, mais celui-ci ne doit pas nuire à ma qualité de vie. C’est pourtant exactement ce qui se produit. Aucune des personnes à qui j’ai partagé ma frustration n’a semblé en désaccord. Plusieurs étaient même clairement en accord avec cette opinion. Voyez le résultat. Avant le bac brun, j’avais un contenant à ordure, communément appelé poubelle, qui était propre. J’avais le contrôle de la situation côté odeur et asticots. Maintenant, une des deux collectes des ordures est devenue une collecte du bac brun. Les ordures ne sont donc ramassées par la Ville qu’une fois par semaine. Même chose pour le bac brun. J’ai maintenant deux contenants hors de contrôle dans ma cuisine. Les deux puent, les deux développent des asticots, c’est sale, je dois nettoyer le tout régulièrement. Bref, c’est insalubre. Je me demande bien quand les rats trouveront cette décharge dans ma cuisine et s’y établiront.

L’organisation Coderre, et les ayatollahs de l’écologie à tout crin, dans sa leur grande sagacité, me répondent d’utiliser mon frigo pour stocker mes ordures. Je suis désolé, je vis en appartement, mon frigo n’est pas énorme et sert à garder les victuailles chèrement acquises pour nourrir ma famille. Bref, Coderre pousse ses dépenses dans ma cour et ça m’irrite singulièrement.

Corriger la situation est pourtant simple. Deux collectes par semaine pour chaque contenant. Ça coûte trop cher ? Pourquoi ne pas mécaniser (un,deux) la collecte des ordures et ramasser 2 fois par semaine recyclage, déchets périssables et véritable ordure ? On ferait d’une pierre deux coups, moins de rats et moins de blessures pour les employées (un collègue me racontait cette semaine que c’était la principale source de blessure à la Ville de Montréal). Avec un peu d’imagination et d’investissement, il y aurait certainement moyen d’offrir un meilleur service aux citoyens.

J’aimerais ajouter que dans mon quartier d’analphabète fonctionnel, le dernier changement dans l’horaire de la collecte, qui doit remonter à huit ans, n’a toujours pas été intégré par mon voisinage. Le résultat est une décharge à ciel ouvert permanente. Trois pierres d’un coup.

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