Visa le blanc et tua le noir

Emmanuelle Latraverse nous parle des effets de bord indésirables de l’abolition des peines minimales votée par les libéraux de Trudeau et malheureusement par le Bloc. Disons-le d’emblée, j’étais en faveur de ces peines. Je crois fermement que les tribunaux doivent être encadrés. Si on se souvient bien, soit, les libéraux voulaient marquer des points faciles contre les conservateurs, mais l’impulsion initiale avait été faite par les tribunaux qui avaient déclaré inconstitutionnelle les peines minimales qui auraient brimé la liberté du judiciaire.

Il est quand même étrange que ces mêmes tribunaux n’aient jamais déclaré illégales les peines maximums. Cette action militante des libéraux n’était que ça, une action militante. Ce n’était pas du tout juridique, mais les tribunaux, dans leur esprit wokisant, souhaitaient réduire la présence des nègres (j’utilise abondamment le terme pour enquiquiner les lapins), Amérindiens et autres minorités en prison. Projet contre lequel n’est pas PLQ Delenda Est. Mais qui peut vraiment croire que ces prisonniers, au Kanada, ne soient pas aussi des criminels ? Nous ne pouvons pas appliquer la grille de lecture américaine, où un nègre peut-être condamné à des années de prisons pour vol de sandwich, au Kanada. Sérieusement.

Donc, si ces gens ont réellement commis le crime qui les a amenés en prison, pourquoi changer la loi ? Il faut attaquer le problème autrement ? Investir en éducation dans les quartiers plus pauvres (ça, ce n’est pas racial) et naturellement, les quartiers bourrés de noirs et d’Amérindiens se verrait mieux desservi. La pacification, ça procède toujours sur deux fronts : on éduque, vaccine et fait le bien d’un côté et on élimine les méchants endurcis pour lesquels il n’y a plus rien à faire. C’était pareil avec les Motards à l’époque.

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New York paie pour envoyer les immigrants chez nous

Nos quotidiens nous ont bien relaté dernièrement les déboires de NewYork avec les immigrants. Les derniers évènements étant terriblement révélateur, l’état de NewYork se transformant en passeur et se débarrasse du problème chez nous avec la complicité du gouvernement fédéral. Faut-il rappeler qu’être un passeur est un acte illégal des deux côtés de la frontière ?

Mais revoir toutes les étapes du processus est très instructif :

  1. Le Nord ( la Nouvelle-Angleterre démocrate ) regarde avec mépris le sud et le traite de raciste parce que celui-ci se plaint du problème de l’immigration massive à ses frontières.
  2. Le sud rétorque que non, non, il y a un vrai problème, ils sont trop nombreux et qu’ils sont bien incapables d’absorber tous ces immigrants illégaux et légaux.
  3. Le nord répond qu’il n’en croit rien, il n’y en a pas tant que ça, que le sud n’a qu’à être bon et gentil comme eux au lieu d’être bourré d’indécrottables racistes.
  4. Le sud (Texas et Floride ) se dit : «Ha oui, et bien rira bien qui rira le dernier» et transporte une petite partie de ses immigrants vers NewYork.
  5. NewYork est débordé ( faut-il rappeler que NewYork est l’une des plus grosses villes de l’univers, bourrée d’immigrant et donc en théorie ouvert à leur problème avec un Afro-Américain comme maire ? ) et déclare l’état d’urgence. Oui, oui, l’état d’urgence. Tout ça pour quelques petits milliers d’immigrant, bien moins que ce que Montréal doit gérer. Et se plaint de ce que le sud est de mauvaise foi et ne peut pas simplement pelleter son problème dans la cour du nord et que le sud devrait se comporter en adulte et garder son tas d’immigrants chez lui.
  6. Le sud continue à envoyer une petite partie de ses immigrants illégaux au nord.
  7. Le nord, incapable de gérer cet afflux supposément non problématique décide de le rediriger plus au nord, chez-nous au Québec.
  8. Le gouvernement Trudeau en redemande, puisque ces immigrants participent à la noyade du peuple québécois et sont généralement de bons électeurs libéraux.
  9. La ville de Montréal s’en fout étant trop occupée à tout traduire en écriture dite inclusive.
  10. Le PLQ, fidèle à lui-même, fait preuve de mépris envers les Québécois.

Ainsi résumé, c’est beaucoup plus amusant, sans être faux.

PLQ Delenda Est

Le chemin Roxham est un poste-frontière en bonne et due forme

Bon, il est certainement moins impressionnant que celui de Lacolle, mais on peut y traverser la frontière et le demandeur d’asile irrégulier y rencontre, dès ses premiers pas en sol québécois des agents fédéraux. On a qu’à regarder des photos du chemin Roxham pour constater que l’état fédéral est bien présent.

Des immigrants illégaux à la douane Roxham

Des immigrants illégaux à la douane Roxham

Des immigrants illégaux à la douane Roxham et trois fonctionnaires fédéraux

C’est donc un poste-frontière. Encore une fois, le gouvernement fédéral ne fait pas son boulot. Il part avec la moitié de nos impôts, mais n’est pas fichu de faire les petits mandats qui lui reviennent : passeport, amérindien, armée, frontière, sécurité. Ce gouvernement adore cependant faire la leçon aux provinces sur leur manière d’exercer leurs domaines de souveraineté. Dans la troisième image, on voit même un immigrant illégal qui tend ses papiers à un fonctionnaire qui tend la main pour les recevoir.

À bas le gouvernement fédéral, à bas l’immigration illégale.

PLQ Delenda Est

L’immigration est immorale — deux.

Quelques jours après PLQ Delenda Est, Christian Rioux, de sa plume absolument remarquable, pousse dans le même sens. Une lecture essentielle, d’autant plus qu’il écrit beaucoup mieux que moi et les exemples qu’il invoque sont simplement plus évocateurs.

J’aimerais ajouter ceci, voulons-nous, croyons-nous vraiment que nous pourrions construire le Québec de demain avec des gens qui fuient leur pays comme des rats fuient un bateau en perdition au lieu de construire leur pays ? Pensez à l’exode des cerveaux grecs. La situation s’est stabilisée en Grèce, croyez-vous que ces gens soient revenus ? Bien sûr que non, dans la majorité, ils ont commencé à reconstruire leur vie ailleur et ils y resteront. Pourtant, la Grèce en aurait bien besoin.

La leçon est qu’au moindre soubresaut, ces gens fuiront le Québec comme ils ont fuient leur pays. Ils ne sont pas venus sauver notre système de santé ou éducatif ou le Québec comme le dit Radio-Canada. Ils ont fuient leur pays où la situation n’est pas toujours facile ; je l’admets, mais souvent leur vie n’y est pas en danger pour leurs opinions politiques. Mais ils devraient être traités comme des déserteurs. Anciennement, les déserteurs, on les fusillait, nous devrions probablement les retourner de force dans leur pays.

PLQ Delenda Est

L’immigration est immorale

Nos médias et les élites dits progressistes insistent pour nous convaincre qu’apparemment, seule une immigration massive peut régler les problèmes de manque de main-d’oeuvre au Québec. C’est sans conter que naturellement une grosse partie de nos problèmes, incluant économique et de rareté — tel le manque de logement — sont causés par l’immigration massive.

Mais je veux parler d’un autre problème. L’immigration est immorale pour tous. Même le Journal de Montréal participe à l’effort de nos élites pour essayer de nous convaincre que nous devons non seulement accepter plus d’immigration, mais que celle-ci est nécessaire et que nous nous en porterons mieux. Rares sont les voix qui nous rappellent que le gros de la crise du logement est essentiellement causé par l’immigration massive. Rares sont ceux qui oseront dire que dans les hôpitaux de la région montréalaise, dans les salles d’attente, les immigrants sont très bien représentés et consomment autant, sinon plus ( ce que démontrent bien des statistiques ) les services de santé.

Mais, pour justifier le titre, je vous enjoins à aller lire Christian Rioux — qui devrait être de lecture obligatoire, lecture associée à un test de compréhension de lecture pour avoir le droit d’aller voter — qui nous parles des Tunisiens qui quittent la Tunisie.

80 % des expatriés tunisiens viennent de la classe moyenne et même supérieure, explique Hassen Zargouni. « En deux ans, plus de 1000 médecins et 5000 ingénieurs ont quitté la Tunisie à destination de la France, de l’Allemagne, du Canada ou des Émirats. C’est une véritable hémorragie. »

Et c’est exactement ce qu’encouragent nos gouvernements et les chantres de l’immigration. Laissez venir à nous les infirmières du tiers monde. Et voilà l’aspect immoral. Mais la Tunisie, n’a-t-elle pas besoin de ses infirmières, médecins et ingénieurs ? Qu’en est-il de la Colombie ? Qu’en est-il du Mexique ? Du Vietnam ? De l’Algérie ? De la Grèce ?

Et bien voilà, ces gens seraient précieux dans leur pays pour aider leurs concitoyens. Mais répliquent les thuriféraires de l’immigration, leur pays est complètement pourrie et gangréné par la violence, le manque de nourriture, la dictature et que sais-je. Ils n’ont d’autres choix que de fuir chez-nous et profiter de notre stabilité.

Je crois au contraire que ces gens devraient participer à rénover leur pays avant de fuir chez-nous. Prenons exemple des Ukrainiens. Les Russes les attaquent, la situation est intolérable pour les petits lapins occidentaux (je vais m’inclure cette fois-ci dans la bande de lapin), mais l’état décrète l’état d’urgence et la conscription. Tous les hommes doivent rester et participer à l’effort de guerre. Voilà l’exemple à suivre. Si tous les Ukrainiens ayant des compétences fuyaient le pays, qui combattrait les Russes ?

Mort au parti libéral et à bas l’immigration de masse.

PLQ Delenda Est

Les RH chez Hydro-Québec passent-elles des entrevues ?

On apprend qu’un Chinois a exfiltré des secrets industriels de chez Hydro-Québec. Naturellement, le gouvernement d’incompétent de Philippe Couilard ne peut pas être bien loin. Regardez cette photo sur le Journal de Montréal. On le voit là, avec son sourire niais, donner à des Chinois pour une bouchée de pain la recherche québécoise.

Qu’est-ce qu’on lui souhaite de cramer en enfer ce con ! Mais ce qui me surprend le plus dans cette affaire, c’est que le chintok en question ne parle ni français ni anglais. Pourtant, chez Hydro-Québec, il n’y a qu’une seule langue de travail. Ce type n’a-t-il pas eu à subir une entrevue ? Comment peut-il travailler avec ses collègues ? Franchement, il y a des coups de pied au cul qui se perdent.

PLQ Delenda Est

PS

Le lendemain de mon laïus, le journal de Montréal en rajoute sur ce dossier. Bref, je n’avais pas tort de dénoncer les RH d’Hydro-Québec.

Pour une poignée de dollars

On lit de plus en plus régulièrement que pour compenser le manque de main-d’oeuvre, il faudrait ouvrir les vannes de l’immigration. Encore aujourd’hui dans le Journal de Montréal, des entrepreneurs susurrent à l’oreille du gouvernement la manière de les aider à combler le déficit. On nous laisse comprendre qu’un charpentier chinois peut très bien travailler au Québec, qu’il peut lire les bleues.

Laissez-moi rire. Premièrement, le chintok en question ne parle ni ne lit le français. Quelle sera la langue sur le chantier ? Dans quelle langue devront être produits les plans de la maison ? Pensez-vous que les précieux architectes feront deux plans ? Un en français pour les clients et un en anglais pour les Chinois ? Ben voyons. On voit immédiatement qui sera le citoyen de seconde zone. C’est le client, un Québécois chez lui, qui devra lire ses plans avec des mots anglais.

Quelle langue sera utilisée pour communiquer avec ces chintoks sur le chantier ? Et voilà, ce seront encore les Québécois qui devront communiquer en anglais parce que soudainement, un satané employé étranger sera sur le chantier.

PLQ Delenda Est dit non à ces capitalistes qui sont prêts à sacrifier le peuple québécois pour une poignée de dollars. Non, mes enfants n’ont pas à vivre en anglais pour qu’eux puissent vendre une autre toiture.

À bas l’immigration,

PLQ Delenda Est

Le racisme systémique existe

Et oui, je vous l’affirme, le racisme systémique existe, mais il est dirigé contre les Québécois. Prenez cette nouvelle sur le site de Radio-Canada : La Ville de Montréal intensifie sa lutte contre le racisme systémique. Dans les faits, la ville nous présente un plan pour expulser les Québécois de leur métropole. L’administration Plante se réjouit de ce que les Québécois soient de moins en moins nombreux sur l’île et même se réjouit de cette diminution constante :

L’administration Plante rappelle que la métropole est de plus en plus diversifiée et que cette tendance démographique n’ira qu’en s’accentuant au cours des prochaines années. En effet, selon les projections de Statistique Canada, la population montréalaise sera composée de près de 56 % de personnes nées à l’étranger ou descendant d’immigrants.

Et donc, au lieu de se catastropher de voir que les Québécois sont remplacés chez eux par des immigrants illégaux, l’administration Plante propose d’écoeurer encore plus les Québécois et de les exclure systématiquement des institutions pour accélérer le processus de l’exode des francophones.

On nous vole notre métropole, à bas l’administration Plante.

PLQ Delenda Est

Faire un lien entre deux nouvelles sans lien.

Radio-Canada, catastrophé, nous apprend que les nations du monde n’ont pas su s’entendre sur l’interdiction des Robots tueurs.

Dans une autre chronique, nous rapporte que le gouvernement fédéral a réouvert le chemin Roxham qui permet aux immigrants illégaux de facilement entrer au KKKanada.

PLQ Delenda Est suggère bien modestement d’installer les robots précédement mentionnés et de les utiliser pour faire peux aux illégaux avant qu’ils ne mettent le pied en territoire Québécois.

À bas l’immigration débridée,

PLQ Delenda Est

Enfin

Aujourd’hui, le journal de Montréal publie deux opinions que plq dlelenda est a déjà eue ici. Fait rare, c’est claire comme de l’eau de roche.

Richard Martineau nous rappelle que tout le monde a le droit a son appartenance sauf les Québécois dans la tête des fédérastes. Il explicite clairement pourquoi je ne suis plus abonné au devoir.

Et Mathieu Bock-Côté s’attaque aux thuriféraires du racisme systémique, un concept bidon où, rappelons le, c’est le système lui-même qui a été construit pour être raciste. Si, à Joliette, aucun employé n’avait été Québécois, blanc, Mme Echaquan aurait quand même supposément succombé à son séjour à l’hôpital, puisque c’est le système hospitalié de Joliette lui-même qui est raciste, même si tous les employés avaient été des Amérindiens. On en conviendra, voilà un concept bidon.

M. Legault, je vous en prie, tenez la barre pour les Québécois.

PLQ Delenda Est