Un devoir citoyen

Un voxPop sur le Journal de Montréal demande s’il y a une vague de racisme au Québec. Bien que je n’approuve pas la violence physique que je dénonce, je crois que chaque Québécois a l’obligation de s’assurer que les musulmans et les femmes voilées ne sont pas les bienvenus au Québec. Les invectives sur le trottoir contre les femmes voilées, ou en tchador, ou en burkini, ou en burka, ou autre, sont tout à fait permises par la loi et sont un devoir citoyen. Poussons les musulmans à quitter le Québec en leur rendant la vie désagréable une insulte à la fois.

Je le répète, pas d’agression physique au couteau, à l’arme à feu ou à main nue ne devrait être faite ; juste des quolibets.

PLQ Delenda Est.

La haine des gauchistes et le racisme des immigrants

Mathieu Bock-Côté nous parle ce matin de la haine des gauchistes. J’aimerais ajouter mon grain de sel dans le même sens.

J’ai eu la chance de cotoyer beaucoup de Vietnamiens dans ma vie. Au secondaire, un de mes meilleurs amis était vietnamien et j’ai passé de nombreuse journée chez-lui à regarder des séries chinoises importé en VHS de Honk Kong, à jouer au Majong et à bouffer des bbq viettamiens où j’étais le seul blanc. Plus tard, j’ai vécu 6 ans avec une jolie Vietnamienne à qui j’aurai bien fais plusieurs enfants si elle n’avait pas choisi d’aller voir ailleurs si je n’y étais pas. Tout ça pour dire que j’ai eu un accès prévilégié aux Vietnamiens du Québec. Et bien Québécois, sachez que le mot officiel pour nous nommer chez les vietnamiens est « Barbare« . Et non, ce n’est pas un accident, le mot est choisi car les vieux Vietnamiens nous considère comme des Barbares ; ils n’ont d’ailleur pas complètement tort.

Je ne dénonce pas ici les les vietnamiens, des immigrants qui s’intègrent bien au Québec et que j’affectionne, mais bien les abrutis de la gauche qui ne connaissent rien (« you know nothing John Snow« , je me comprends) mais qui voudraient nous faire la morale. En passant, les Vientnamiens détestent les noirs qu’ils considèrent être des singes, détestent les Chinois pour des raisons évidentes et ont peu d’affection pour les Laosiens et les cambogiens qui auraient l’esprit un peu lent parce qu’ils mangent du rie gluant (miam). Mais à écouter la gaugauche — les bobos —, les blancs ont l’exclusivité du racisme et des préjugés.

Si les vietnamiens, qui sont les plus doux et les mieux intégrés des immigrants asiatiques nous méprisent, imaginez ce que pensent de nous les Chinois, les arabes ? des immigrants autrement plus aggressifs ?

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Condamnation à géométrie variable

Je rigole parfois en regardant les unes de Radio-Canada. Celle-ci par exemple il y a quelques matins :

Fusillade dans un festival en Californie : 3 morts, le suspect abattu

Il y a des vidéos de l’homme qui canarde les passants et on parle de suspect ? Non, le suspect n’a pas été abattu. le criminel, le meurtrier a été abattu. On peut se poser la question, pourquoi Radio-Canada prend-elle des pincettes pour parler d’un meurtrier clairement coupable, mais pourquoi a-t-elle participé si violemment à pendre le cadavre de Claude Jutra ?

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À en souhaiter le retour des chemises brunes

Mathieu Bock-Côté nous a conseillé dans une chronique sur le schisme social américain d’aller regarder un petit film sur la prise en otage par des unités gauchistes nouveau genre d’une université de l’état de Washington au É.-U.. C’est terrifiant. Voir tous ces gens, sans aucun argument, faire une chasse aux sorcières pour humilier des professeurs, professeurs qui seraient clairement identifiés comme de gauche un brin trop ouvert dans toute université ailleurs. Terrifiant. À choisir entre ces débiles et les chemises brunes, c’est triste à dire, je choisis ces dernières ; au moins, elles nous ont permis d’aller sur la lune.

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Les alunissages américains, une fierté occidentale

Voilà cinquante ans que les astronautes américains ont mis le pied sur la lune. On célèbre cet évènement avec pas mal de fanfares présentement aux É.-U.. J’aimerais faire remarquer que voilà une entreprise essentiellement menée par des hommes, blanc, chrétien. Bien sûr, on nous rappelle quelques fois que des femmes ( noires ) ont participé, comme dans l’excellent film «Les figures de l’ombres» ou comme Margaret Hamilton. Cependant, à regarder ce film, la NASA était pleine d’hommes blanc, ahuris complètement inutiles et trois poignées de femmes de plus auraient pu remplacer tous ces hommes.

Faux archifaux. Sans vouloir réduire le talent de ses femmes qui ont parfaitement bien contribué au programme spatial, elles n’ont que contribué. Il y a eu des milliers d’hommes blanc, chrétien qui ont eux aussi contribué au projet. Ne pensons qu’à Werner Von Braun, qui a littéralement inventé les fusées et créé la fusé la plus puissante jamais construite ( et fonctionnelle ) : la Saturne V. Ou à cet homme, presque oublié, John Houbolt qui a pensé au ballet spatial permettant l’alunissage, envers et contre tous et surtout a osé s’opposer à Werner von Braun.

N’oublions pas que chaque petite pièce est conçue par quelqu’un qui y passe des semaines, voir des mois. Presque tous des hommes blancs et chrétien. On oublie trop facilement que pour quelques poignés de femmes ou de noir, il y avait des milliers d’hommes blancs qui n’était pas complètement dépassé par les évènements, mais qui dans l’ombre eux aussi ont participé au projet Apollo.

Chapeau bas à l’occident.

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Les jambes d’Apollo 11, fierté québécoise !

Radio-Canada, dans son genre assimilateur standard, nous parle du train d’atterrissage d’Apollo. Le titre «Les jambes d’Apollo 11, fierté kkkanadienne ». Naturellement, on nous parle d’Héroux, une compagnie de Longueuil, devenu depuis Héroux-Devtek ( après l’acquisition de devtek en 2000 ).

Et bien non, prenez-en notes, cette compagnie est toute québécoise, gérée par des Québécois et un tas d’ingénieurs québécois. Et elle est à la conquête du monde et achète ses concurrents américains tant dans le domaine militaire que civil.

Sus à notre assimilation. Ras-le-bol des titres tendancieux de Radio-Canada.

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Rage au guidon

Je vais réagir à chaud à la nouvelle qu’on retrouve sur le site de Radio-Canada d’un cas de rage au volant à vélo. Un cycliste aurait tabassé plusieurs baies d’un autobus. Sur une des photos, on voit le vélo devant le bus et plusieurs coups assénés dans les vitres du véhicule.

Bon, je n’y étais pas et on peut difficilement blâmer qui que ce soit à distance après coup. Je voudrais cependant exprimer deux choses qui se recoupent :

1) Les autobus ne respectent pas les vélos et leur rendent la vie parfois difficile et dangereuse. J’ai moi-même eu plusieurs fois envie de tabasser les chauffeurs d’autobus — une fois en particulier où on m’a poussé dans le banc de neige et j’ai bien failli passer sous les pneus du bus. Leur comportement est souvent carrément criminel. Naturellement, personne pour constater ces infractions.

2) Nous jugeons trop souvent la rage au volant, sans jamais parler de ce qui a amené le pauvre cycliste à péter les plombs. Essayer pour voir de vous déplacer à vélo et de de vous faire tasser contre le trottoir où la chaussée est pleine de trous qui la rendre carrément non carrossable par un bus qui essaie de rattraper son horaire. Vous verrez, on se sent plus que menacé, on est carrément mis en danger par ces mastodontes. Je suis surpris qu’il n’y ait pas plus d’incidents. Bref, cessons de juger les cas de rage au guidon et jugeons un peu le paquet d’abrutis qui amène l’honnête citoyen à disjoncter.

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Étalement urbain

Jonathan Trudeau nous parle aujourd’hui d’étalement urbain. Et c’est vraiment lamentable comme argumentation.

Je suis d’accord sur une chose, trop souvent, l’espace en appartement pour une famille en ville est misérable et la cour (le jardin, comme disent les français ) inexistante. J’ai moi-même déménagé ma famille en banlieue et nous nous en portons beaucoup mieux. Pour un prix raisonnable, moins de la moitié de l’équivalent en ville, nous avons une grande maison et un jardin raisonnable. Le tout près de Montréal. Et à ma grande surprise d’ancien Montréalais, c’est tout à fait vrai : le problème du trafic, c’est à Montréal, pas en banlieue ; j’y reviendrai dans un article subséquent. Notre maison a toutefois plus de 40 ans dans un quartier plus vieux encore. Nous n’avons pas saccagé une terre agricole pour aller y habiter ; oublions la remise en état, c’est presque impossible.

Le problème de l’étalement urbain, ce sont les nouvelles surfaces qui sont transformées pour accueillir de nouveaux bungalows au bout d’une nouvelle autoroute. Ça c’est criminel. Pensons à la 19, un hérésie totale. À Laval, on a une belle autoroute à deux ou trois voies (je ne me souviens plus ) qui vomit ses voitures dans un quartier résidentiel de Montréal à 40 minutes du centre-ville dans de bonnes conditions. Cette belle autoroute se transforme en boulevard qui rencontre ( boulevard sans terre plain ) au nord de l’île Jésus. Malgré le côté inutilisable de cette autoroute pour aller à Montréal, les habitants du nord de l’île Jésus et de la rive nord réclament sa prolongation vers le nord. Voilà une hérésie totale.

L’étalement urbain, c’est l’utilisation de terre agricole inutilisée ou de parcelle de terre humide ( de la bonne vieille swamp ) pour construire des bungalows. Dans les deux cas, c’est inexcusable. Les terres arables forment une richesse très épuisable dans un Québec qui n’en a pas beaucoup. Les terres de la vallée du Saint-Laurent sont hyper précieuses, c’est littéralement notre plus grande richesse ; richesse que Chinois nous achètes à vil prix — en passant, un hectare acheté par les Chinois est un hectare de trop. Les marécages, eux, ont leur utilité dont on parle de plus en plus dans les médias. Tout contracteur qui gaspille une telle terre devrait être pendu haut et court (ce n’est pas de l’enflure verbale).

Mais son argument est résumé ainsi

Je sais, vous me direz que je ne suis pas urbaniste, mais il me semble que plus le développement se fera en périphérie et à l’extérieur des grands centres, plus cela aura des effets collatéraux positifs sur les régions plus éloignées.
Et le contraire m’apparaît encore plus évident ! Ce n’est pas en favorisant uniquement la densité de Montréal et du cœur de Québec que des régions comme l’Abitibi ou la Gaspésie vont arrêter de se vider.
L’étalement urbain, ce n’est pas une tare. Au contraire. Est-ce qu’on a encore le droit de penser cela sans avoir l’air de vouloir tuer la Terre ?

Je ne vois pas en quoi saccager un boisé à Longueuil permettra de réoccuper la Gaspésie. Je ne vois pas en quoi remplir les derniers marécages de l’ouest de l’île de Montréal permettra d’occuper le territoire de l’Abitibi. C’est ahurissant comme argument. Honte au Journal de Montréal de publier de telles inepties. Je comprends que la liberté d’expression existe et j’en profite amplement. Mais il me semble que quelqu’un aurait pu lire le propos de M. Trudeau et lui poser quelques questions pour qu’il réalise la médiocrité abyssale de son propos.

Pour terminer, contrairement à certains, je suis tout à fait en faveur de la construction de tour à condo. On ne peut pas être en faveur de la concentration et être contre les tours en hauteurs. Cependant, il est vrai qu’il faut réglementer pour obliger la construction des logements de grandeurs suffisantes pour les familles de 4 ou 5 ou 6 qui sont difficiles à loger à Montréal. Il faut aussi que la ville et la commission scolaire fassent leur travail, qu’elles font très mal, pour réserver les terrains, quitte à les nationaliser, pour construire les écoles, centres communautaires et autres infrastructures sociales essentielles pour une communauté florissante.

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Un vent de fraîcheur

Ma vie a subi de nombreux changements et est nettement plus occupée qu’elle l’était. J’ai cependant un petit répit et je vais tenter de recommencer à écrire plus régulièrement.

J’ai, durant cette période, nettement diminué ma consommation de radio-canada. Je me suis aussi désabonné du devoir, plus assez nationaliste à mon goût. Je suis tanné de me faire dire que je suis raciste parce que je souhaite un meilleur contrôle et une meilleure sélection de nos immigrants ainsi qu’une diminution 10 ou 15 milles entrées par années, pas plus.

Cependant, un honnête citoyen a tout de même besoin d’écouter quelque chose alors qu’il prend littéralement trois fois plus de temps que nécessaire pour parcourir le chemin entre A et B à Montréal. Ayant commencé à lire le Journal de Montréal tous les jours, j’ai donc décidé d’essayer QubRadio. C’est lamentable : une succession d’animateurs merdiques à la diction de d’arriérés mentals de villages éloignés du Noubeau Brunswick. Très difficile, ça ne peut clairement pas remplacer radio-canada. Cependant, dans l’application (que je ne vous conseille pas, elle est affligée par des anomalies logicielles désagréables ) il y a une section balado où j’ai découvert le balado les idées mènent le monde ( lien vers l’iTunes stores, c’est plus utilisable ) de Mathieu Bock-Coté. C’est merveilleux.

M. Bock-Côté reçoit des intellectuels français et québécois, ses invités français sont fantastiques — volubiles, cohérents, précis, cultivés et ayant un français impeccable. Voici quelques exemples d’invités ( Français et Québécois ) qui m’ont fascinés :

  • Jacques Houles nous parle de l’immigration au Québec. Il présente le mythe de l’immigrant qui vient aider notre économie et du comblement des postes dans une économie en pénurie de main-d’oeuvre. En effet, il n’y aurait pénurie de main d’oeuvre que dans de mauvais emplois à mois de 15 dollars de l’heure : caissières, vendeuses, serveuses. Tiens donc, par hasard, des emplois féminins. Donc l’immigration aurait pour effet d’empêcher d’augmenter les salaires dans ces catégories d’emplois principalement occupés par des femmes. Et que ferons-nous de tous ces immigrants incompétents lors de l’automatisation de tous ces postes ?

  • Raphaël Enthoven. Celui-ci, je l’ai écouté deux fois. On parle de beaucoup de sujet, mais beaucoup de l’impact des médias sociaux sur la démocratie. Raphaël Enthoven est extraordinairement cultivé et volubile. Ça vaut la peine de l’écouter pour comprendre ce que le Québec n’arrive pas à produire : des intellectuels volubiles.

  • Michel de Jaeghere. On parle de la chute de l’Empire romain. Un historien formidable. Tellement intéressant qu’il y a une séquence extrêmement longue ou M. Bock-Côté n’intervient même pas, il le laisse parler. Fantastique. On parle des mythes sur la chute de Rome, de la complexité de la chute de cette civilisation et de son modèle à lui pour expliquer cette chute. Il parle, sans le nommer, de l’hypothèse d’Henri Pirenne que la fin de l’Empire romain se situerait en 800 lors du sacre de charlemagne. Je crois qu’il caricature son propos, mais c’est somme toute extrêmement intéressant à écouter pour un amoureux de l’histoire.

  • [Bérénice Levet] Rare femme interviewée, un peu trop éparpillée à mon goût, mais un propos qui m’a frappé. Lesdits progressistes, après s’être attaqués à l’idée de nation, de religion, d’orientation sexuelle, trois concepts que l’homme ne choisit pas, mais reçoit de ses parents, s’attaquent à l’idée du genre : pouvons-nous choisir d’être homme ou femme selon notre bon vouloir. Très éclairant.

Et bien d’autres, dont Jean-François Lisée, Christian Saint-Germain, Alain Finkielkraut

J’encourage tout honnête citoyen à se les farcir en voiture, en métro à pied, mais pas à vélo.

PLQ Delenda Est