Crétin de dragon

J’ai toujours eu le plus grand des mépris pour les dragons à Radio-Canada. Je considère que leur discours peut-être réduit à : «jouez à la loterie comme nous et vous aurez du succès comme nous». Une bande de médiocres sans éducation qui a eu l’heur de devenir fortunée.

François Lambert dans le Journal de Montréal nous dit, du haut de grande sagacité, que TikTok n’est pas différent des autres joueurs américains des réseaux sociaux. Ils nous espionnent tous. Même Tim Horton nous a espionnés ( pas moi, je déteste Tim Horton et je n’installerais jamais leur app sur mon téléphone). Il n’a pas tort, mais où il a tort, c’est quand on ne mentionne pas les différences entre la Chine et nos régimes.

En chine, les compagnies sont obligées par la loi de partager toutes leurs données avec le PCC ( parti communiste chinois ). Là-bas, l’état et le parti, c’est la même chose, l’armée est une branche du PCC. Les véritables compagnies privées séparées de l’état, ça n’existe tout simplement pas. Il y a des lois qui forcent les compagnies à espionner les Chinois et les étrangers pour le PCC.

Tout ça n’est pas optionnel, c’est obligatoire. Toute entreprise chinoise est un organe d’espionnage à la solde du PCC tel que la loi l’exige. C’est autrement moins subtil et plus efficace que toutes les jérémiades des Américains pour nous espionner.

Faut-il aussi rappeler à M. Lambert que les États-Unies sont nos alliées, mais pas la Chine ?

Il a le culot de dire que :

On est un peu hypocrite. On continue à acheter et à faire faire nos affaires en Chine, mais on a peur que TikTok nous suive.

Mais il y a une différence entre acheter une babiole sur amazon qui vient de Chine et avoir un outil d’espionnage directement sur mon téléphone qui utilise toutes les autorisations déléguées pour espionner les faits et gestes et les retourner au PCC. Soit, le commun des mortels n’a peut-être pas beaucoup de valeur pour le PCC, mais c’est la somme qui fait la valeur. Nous serons en guerre un jour ou l’autre avec la chine et toute information que le PCC aura sur nos sociétés lui sera utile. Alors, au poubelle TikTok.

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Les RH chez Hydro-Québec passent-elles des entrevues ?

On apprend qu’un Chinois a exfiltré des secrets industriels de chez Hydro-Québec. Naturellement, le gouvernement d’incompétent de Philippe Couilard ne peut pas être bien loin. Regardez cette photo sur le Journal de Montréal. On le voit là, avec son sourire niais, donner à des Chinois pour une bouchée de pain la recherche québécoise.

Qu’est-ce qu’on lui souhaite de cramer en enfer ce con ! Mais ce qui me surprend le plus dans cette affaire, c’est que le chintok en question ne parle ni français ni anglais. Pourtant, chez Hydro-Québec, il n’y a qu’une seule langue de travail. Ce type n’a-t-il pas eu à subir une entrevue ? Comment peut-il travailler avec ses collègues ? Franchement, il y a des coups de pied au cul qui se perdent.

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PS

Le lendemain de mon laïus, le journal de Montréal en rajoute sur ce dossier. Bref, je n’avais pas tort de dénoncer les RH d’Hydro-Québec.

Pour une poignée de dollars

On lit de plus en plus régulièrement que pour compenser le manque de main-d’oeuvre, il faudrait ouvrir les vannes de l’immigration. Encore aujourd’hui dans le Journal de Montréal, des entrepreneurs susurrent à l’oreille du gouvernement la manière de les aider à combler le déficit. On nous laisse comprendre qu’un charpentier chinois peut très bien travailler au Québec, qu’il peut lire les bleues.

Laissez-moi rire. Premièrement, le chintok en question ne parle ni ne lit le français. Quelle sera la langue sur le chantier ? Dans quelle langue devront être produits les plans de la maison ? Pensez-vous que les précieux architectes feront deux plans ? Un en français pour les clients et un en anglais pour les Chinois ? Ben voyons. On voit immédiatement qui sera le citoyen de seconde zone. C’est le client, un Québécois chez lui, qui devra lire ses plans avec des mots anglais.

Quelle langue sera utilisée pour communiquer avec ces chintoks sur le chantier ? Et voilà, ce seront encore les Québécois qui devront communiquer en anglais parce que soudainement, un satané employé étranger sera sur le chantier.

PLQ Delenda Est dit non à ces capitalistes qui sont prêts à sacrifier le peuple québécois pour une poignée de dollars. Non, mes enfants n’ont pas à vivre en anglais pour qu’eux puissent vendre une autre toiture.

À bas l’immigration,

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Les hommes on s’en tape

Un article sur le Xingjiang sur le site de radio-canada a attiré mon attention :

Une fuite de fichiers attribués à la police chinoise, dont des milliers de photos de détenus parmi lesquels des femmes, des mineurs et des personnes âgées, jette une lumière crue sur la situation des musulmans ouïgours au Xinjiang.

C’est rigolo, enfermer des hommes parce qu’ils résistent à leur assimilation par une vague d’immigration Han, c’est tout à fait acceptable. Mais des femmes, des mineurs et des vieillards, ça ça dépasse les bornes. Merci Radio-Canada de me rappeler qu’en tant qu’homme dans la force de l’âge, je suis une quantité nuisible qu’on devrait enfermer en prison pour le bien du Québec, de ma femme et de mes enfants ; car je suis nuisible.

Après tout, si ce n’est pas un mal dans le Xingjiang que les locaux ( des hommes qui ne sont pas des maudits blanc ) se fassent mettre au rancart par l’envahisseur chinois, immaginez au Québec par l’envahisseur kkkanadien.

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Las de la culpabilisation anti-occidentale

Je suis las d’entendre dire que c’est la faute des Occidentaux si de nouveaux variants surgissent. Nous devrions donner des vaccins aux pays pauvres au lieu de nous faire vacciner une seconde fois. Maintenant qu’on parle de troisième dose, troisième dose qui semble extraordinairement efficace, on nous ressort la même rengaine. On en profite pour nous culpabiliser alors que nous commençons à vacciner nos enfants de moins de 12 ans. Je serais égoïste parce que je préfère protéger la vie de ma fille de 11 ans plutôt que protéger la vie de gens que je ne connais pas qui ne savent ni lire ni écrire à l’autre bout de la planète.

Mais c’est tout simplement réducteur et méprisant. Il y a présentement 24 vaccins qui ont été approuvés, la majorité venant de pays qui ne sont pas considérés comme occidentaux. Quatre sont russes, 3 Iraniens, 6 chinois, 2 Indiens, 2 cubains et quelques autres pays surprenants.

Clairement, nous ne manquons pas de vaccins. De plus, l’Inde qui a développé deux vaccins, est le plus grand manufacturier de médicament de la planète ; l’Inde est le fournisseur de l’occident. Non, il n’y a pas de manque de médicament. Le problème, c’est que moult pays n’ont simplement pas la capacité de vacciner leur population. Il y a un problème de chaîne de froid ( même pour les vaccins qui ne demandent qu’un frigo standard ), mais surtout, ces pays manquent de personnel pour administrer le vaccin massivement.

Observez au Québec comment nous avons fait appel aux médecins, aux infirmières, au vétérinaire, aux pharmaciens ( et j’en passe sûrement ) pour administrer le vaccin. Ces professionnels n’existent simplement pas dans ces pays sous-développés. Nous pourrions leur donner autant de vaccin, nous priver de vaccin, ceux-ci ne seraient simplement pas administrés par manque de capacité organisationnelle ( sans oublier que l’état est généralement inexistant, ce qui explique leur situation d’état pourri ).

Remarquez aussi que dans le cas de la variole, ce sont des Occidentaux qui ont fait le gros du travail avec des ressources occidentales. Mais, nous ne vaccinions pas toutes les personnes, mais vaccinions selon le modèle des cercles concentriques. On trouve une personne infectée et on vaccine les personnes qui ont été en contact direct, puis en contact avec les personnes qui ont été en contact… Ça demande moins de personnel et les organismes caritatifs internationaux ont pu faire le travail. Mais vacciner toute une population, il faut tout un autre degré d’organisation.

Je vais faire vacciner mes enfants et je ferai la file pour une troisième dose, oh que oui. Que les pays minables se prennent en main, construisent leur état et vaccinent leur population avec les vaccins disponibles par eux-mêmes et cessons de nous autoflageller.

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Écouter les experts

J’aime bien lire Richard Martineau, j’aime moins Claude Villeneuve, que je trouve toujours un peu niais, mais tous les deux ont vraiment écrit des conneries samedi.

Claude Villeneuve fait la leçon au premier ministre basé sur les conneries de l’OMS qui prétend maintenant que le confinement n’est pas la seule manière de contrer la COVID. Quelle connerie. Premièrement, quelle crédibilité reste-t-il à l’OMS ? Le Québec s’est mis en confinement avant que l’OMS ne déclare la COVID comme une pandémie : faut quand même ne pas être attentifs à la situation mondiale. L’OMS a bu le cool-aid de la chine et n’a pas prévenu la planète du danger avant qu’il ne soit pas trop tard. L’OMS a conseillé de ne pas fermer les frontières. L’OMS a attendu longtemps avant de nous conseiller de porter le masque.

Sérieusement, comment ce paquet de clounes à la solde de la chine peut-il toujours être pris au sérieux  ? Une fois n’est pas coutume, je vais prendre la Chine en exemple. Elle s’est débarrassée mieux que les autres pays du virus sur son territoire avec un seul outil principal : un confinement drastique, ridiculement drastique. Mais ça a fonctionné. Le virus a fait son temps. Dans chaque petite bulle où il existait, il a contaminé tous les occupants de la bulle, puis à court de nouveau sujet, il est disparu. Déconfiner nuit à ce processus. Nous n’aurions jamais dû déconfiner au mois de mai, mais au contraire redoubler d’efforts.

Maintenant, Martineau nous parle de Bernard Henry Lévy qui nous dit qu’il n’y a pas que les experts de la santé publique qu’il faut écouter. Il faudrait écouter les tenanciers de bar, les restaurateurs, les professeurs … Mais, n’est-ce pas ce que le gouvernement a fait ? Il a décidé d’essayer de confiner le moins possible, mais faute de succès, on augmente la sévérité des mesures. Et clairement, le week-end de l’Action de grâce n’a pas aidé et le gouvernement devra ajouter quelques tours de vis.

Malheureusement pour toutes les petites bêtes grégaires qui s’ennuient à la maison, j’en ai rien à foutre. Moi aussi j’ai hâte d’aller magasiner sans masque. La seule solution est un confinement drastique. Je vous le prédit, le confinement light sera durci bientôt comme à MelBourne et comme en Europe cette semaine. On n’a encore rien vu.

Vraiment rouvrir les bars et les restaurants était complètement débile.

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Appliquons aux Chinois leur propre médecine

Tim Wu dans le New York times défend exactement ce que je défendais ici il y a peu : appliquer aux compagnies étrangères les lois qui s’appliquent aux nôtres sur leur territoire. Ça s’applique certainement à Tik Tok et à d’autres compagnies chinoises. Mais pourquoi ne pas l’appliquer aux compagnies coréennes, indiennes, brésiliennes… ? Tous ces pays appliquent des mesures protectionnistes pour favoriser et protéger leurs compagnies nationales, mais exigent un accès totalement libre à nos économies occidentales. Est-ce normal ? Est-il normal que la Chine qui se targue maintenant d’être la plus grande puissance économique mondiale ait un tel avantage ?

Allez lire Tim Wu

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Le Québec a besoin d’un PLQ mort

Harold Fortin, un ancien conseiller de l’ancien premier ministre Couillard — ça en dit long sur ce personnage —, nous pond un article dans lequel il prétend que le Québec a besoin d’un PLQ fort (à quel point une seule lettre peut tout changer). Et ben voyons, comme si le Québec avait besoin d’un parti anti-québécois à l’assemblée nationale. Un parti dont l’unique ambition a été d’assimiler les Québécois et de les noyer dans une mer d’immigrant depuis 40 ans. Les Québécois se font passer un Xinjiang par le Canada. On nous inonde de non québécois qui ne veulent que parler Anglais et le tout est piloté par une puissance étrangère et ennemie du Québec, c’est-à-dire le KKKanada et son chien de garde au Québec le PLQ.

Honte au Journal de Montréal de nous imposer un nègre de service fédéraste dans la foulée de la mort de George Floyd. Le choix de Maka Kotto s’avère bien meilleur, malgré que ça procède du même esprit.

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Organismes internationaux

Je pestais, selon mes bonnes habitudes, contre les organismes internationaux qui sont gangrénés par un ramassis de dictactures médiocres dont nous devrions refuser la compagnie. Richard Latendresse dans le Journal de Montréal nous parle du danger chinois et de la pression grandissante que celle-ci applique sur le système international :

Les Chinois se vantent d’avoir récolté l’appui de 52 pays au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour la « nouvelle loi de sécurité nationale » à Hong Kong. La liste se lit comme un rendez-vous d’autocrates (Cuba, Myanmar, Égypte, Corée du Nord, Arabie saoudite) ou de pays en développement qui ont attaché leur sort aux investissements chinois.

Voilà, je ne suis pas le seul à le penser. Il faut clairement arrêter de faire affaire avec la Chine et arrêter de pense que la planète est bourrée de calinours en dehors de l’occident. Il faut remettre les jeunes à leur place et cesser de laisser toute la place à leurs discours débiles déconnectés de la réalité et recommencer à mener une politique internationale d’adulte.

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Des suggestions au gouvernement Trudeau

On entend régulièrement dire que les occidentaux sont désavantagés face à la chine, particulièrement M. Krugman dans les New York time qui dénonçait sans relâche la politique trumpienne. Cependant, je ne vois pas comment, lorsque la balance commerciale est de 3 ou 4 pour un, ce seraient les nations occidentales qui seraient désavantagées. Bien sûr, la Chine applique la politique du diviser pour régner avec un certain succès, mais si nos dirigeants se réveillaient, nous avons un clair avantage. Nous importons beaucoup de cochonneries de la Chine que nous pourrions simplement cesser de consommer sans que les citoyens s’en ressentent trop (pensez au Dolorama). Surtout, pour ceux qui pense que nous ne pourrions construire une indépendance économique de la Chine, pensez qu’avant 1980, il y a 40 ans, la chine était un pays du tiers monde, insignifiant qui littéralement utilisait les excréments humains pour fertiliser ses potagers et pas de manière industrielle. Si nous avons déplacé nos chaînes de production en chine sur 40 ans, on peut certainement les ramener. Pensez à Tesla, tout est neuf, aux É.-U.

Mais avant de couper les ponts, ce que je crois qui doit être fait, nous pouvons clairement enquiquiner les Chinois. Appliquons les règles d’inspection des marchandises aux douanes. Que chaque palette soit minutieusement inspectée avec tous les moyens disponibles : inspections visuelles multiples, test d’insectes, chimique … Ceci ajoutera un temps considérable qui incitera nos commerçants à se tourner vers des marchandises non chinoises. Les ministères des Finances aiment bien faire des campagnes pour contrer l’évasion fiscale, analysons minutieusement tous les joueurs chinois ayant pignon sur rue ici, compagnies et particuliers. Impossible que nous ne trouvions pas quelque chose. Dans tous les cas de figure, ça enverra un message clair.

Enquêtons plus que jamais avant l’émission d’un visa. Les membres du partie communiste chinois ne devrait plus pouvoir entrer en sol occidental, après tout, la chine est une vile dictature, pourquoi les membres du parti au pouvoir ne devraient-ils pas être considéré comme tel ? Surtout, appliquons les principes de souveraineté et de précaution en sécurité nationale et refusons l’emploi de matériel informatique et de logiciels chinois dans toutes les infrastructures occidentales. C’est déjà commencé, mais certains états, dont celui de M. Trudeau, font la sourde oreille aux revendications de leurs alliées.

Finalement, reprenons toutes les mesures protectionnistes que la Chine applique aux compagnies étrangères sur son sol et appliquons-les aux compagnies chinoises sur notre sol. Par exemple, toute compagnie chinoise qui veut faire affaire en occident, doit se choisir un partenaire occidental vers lequel elle devra transférer ses brevets. Si c’est bon pour la Chine, c’est bon pour nous. D’ailleurs, nous devrions cesser de nous plaindre devant des instances internationales qui prennent des années décider de la légalité d’une pratique (des années que bien peu d’industrie peut tolérer sans faire faillite) et simplement appliquer ce principe miroir : Quand nous pensons qu’un une réglementation défavorise une de nos industries, appliquons la même réglementation qui vise le pays d’origine de cette réglementation. Si elle est vraiment légale, l’arroseur arrosé devra faire un choix.

PLQ Delenda Est