Ras-le-bonbon

J’en ai parlé cette semaine pour démolir la tarte qui pense que retirer les normes vestimentaires dans les écoles pour les filles empêchera les hommes de les regarder. Quelle absurdité.

Denise Bombardier en ajoute une couche dans une excellente chronique intitulée ras-le-cul. À lire. Je suis d’accord avec ce qu’elle dit. J’ai eu une copine qui est allé au Collège du Saint-Nom-de-Marie et qui se targuait de rendre dingue les religieuses ou professeurs en portant mal le costume.

J’ai proposé cette semaine à la dame qui ne pouvait supporter le regard des hommes sur elle de porter une Burqa. J’ai une meilleure solution.

Imposons le port du pantalon aux filles. On atteint plusieurs objectifs d’un seul coup. Égalité des garçons et des filles et on fait débander tous les pervers. Tout le monde doit porter le même pantalon trop cher trop grand et laid, le même polo trop cher trop grand et laid, les mêmes galoches trop chères, grosses et lourdes et laides. Plus de soulier, jupe et blouse différente pour les filles. Tout le monde doit avoir le cheveu court et mal coiffé.

Ainsi, les filles ne seront plus aussi désirables, il sera impossible d’avoir la jupe au ras du bonbon, les bas trop bas ( de toute façon on ne les verra pas ). Et ça fera plaisir à QS, plus de différence entre filles et garçons.

Mon opinion est que les normes vestimentaires sont essentielles. Je préfère les Milfs et les femmes plus âgées bien en chaire, mais les jeunes filles aguichantes qui portent leur mini-jupe d’école attirent aussi mon regard, tout autant que celui des autres hommes qui n’ont pas vieilli et qui préfèrent toujours les filles prépubères. Ces normes en sont de décences dans un lieu d’apprentissage et elles sont aussi là pour protéger les jeunes filles qui sont assez naïves à cet âge-là.

Alors, soit elles respectent les normes, soit on leur impose le costume mal dégrossi de leurs camarades masculins.

PLQ Delenda Est.

Écouter les experts

J’aime bien lire Richard Martineau, j’aime moins Claude Villeneuve, que je trouve toujours un peu niais, mais tous les deux ont vraiment écrit des conneries samedi.

Claude Villeneuve fait la leçon au premier ministre basé sur les conneries de l’OMS qui prétend maintenant que le confinement n’est pas la seule manière de contrer la COVID. Quelle connerie. Premièrement, quelle crédibilité reste-t-il à l’OMS ? Le Québec s’est mis en confinement avant que l’OMS ne déclare la COVID comme une pandémie : faut quand même ne pas être attentifs à la situation mondiale. L’OMS a bu le cool-aid de la chine et n’a pas prévenu la planète du danger avant qu’il ne soit pas trop tard. L’OMS a conseillé de ne pas fermer les frontières. L’OMS a attendu longtemps avant de nous conseiller de porter le masque.

Sérieusement, comment ce paquet de clounes à la solde de la chine peut-il toujours être pris au sérieux  ? Une fois n’est pas coutume, je vais prendre la Chine en exemple. Elle s’est débarrassée mieux que les autres pays du virus sur son territoire avec un seul outil principal : un confinement drastique, ridiculement drastique. Mais ça a fonctionné. Le virus a fait son temps. Dans chaque petite bulle où il existait, il a contaminé tous les occupants de la bulle, puis à court de nouveau sujet, il est disparu. Déconfiner nuit à ce processus. Nous n’aurions jamais dû déconfiner au mois de mai, mais au contraire redoubler d’efforts.

Maintenant, Martineau nous parle de Bernard Henry Lévy qui nous dit qu’il n’y a pas que les experts de la santé publique qu’il faut écouter. Il faudrait écouter les tenanciers de bar, les restaurateurs, les professeurs … Mais, n’est-ce pas ce que le gouvernement a fait ? Il a décidé d’essayer de confiner le moins possible, mais faute de succès, on augmente la sévérité des mesures. Et clairement, le week-end de l’Action de grâce n’a pas aidé et le gouvernement devra ajouter quelques tours de vis.

Malheureusement pour toutes les petites bêtes grégaires qui s’ennuient à la maison, j’en ai rien à foutre. Moi aussi j’ai hâte d’aller magasiner sans masque. La seule solution est un confinement drastique. Je vous le prédit, le confinement light sera durci bientôt comme à MelBourne et comme en Europe cette semaine. On n’a encore rien vu.

Vraiment rouvrir les bars et les restaurants était complètement débile.

PLQ Delenda Est

Hé ben

Paraîtrait que les Amérindiens ne sont pas parfait et ne pensent pas toujours à protéger la nature, nature avec laquelle ils seraient supposément plus en symbiose que les blanc. Apparemment, ils aideraient de méchants blancs à chasser l’our polaire. Suffit d’aller voir nous suggère-t-on. En effet, des guides inuits sourriant auprès de dépouille d’ours, accompagnant des chasseurs venus du sud et une belle description du mode de vie des inuits.

Hé ben,

PLQ Delenda Est

Capable du meilleur et du pire

Le Journal de Montréal, en parallèle des deux excellentes chroniques de Bock-Côté et Martineau publie une horreur totale.

L’opinion d’une femme qui pense argumenter contre le code vestimentaire imposé aux jeunes filles. Son argument : «il était déjà assez difficile d’être une cruche dans un collège performant, le regard des hommes matures qui jugeaient de la légalité de sa tenue était de trop.»

Bref, parce qu’il était stressant d’attendre ses notes minables (c’est elle qui le dit, pas moi), il n’aurait pas fallu lui imposer un code vestimentaire puisque ceci amenait les hommes à la regarder alors qu’elle se transformait en femme et c’est bien connu, tous les hommes sont des aggresseurs pédophiles et donc leur regard était forcément une aggression ; agressions qui la traumatisent encore aujourd’hui.

Nous lui suggérons de porter la burka, les hommes ne la regardont plus avec appétence.

Honte au Journal de Montréal de publier une telle connerie.

PLQ Delenda Est

Enfin

Aujourd’hui, le journal de Montréal publie deux opinions que plq dlelenda est a déjà eue ici. Fait rare, c’est claire comme de l’eau de roche.

Richard Martineau nous rappelle que tout le monde a le droit a son appartenance sauf les Québécois dans la tête des fédérastes. Il explicite clairement pourquoi je ne suis plus abonné au devoir.

Et Mathieu Bock-Côté s’attaque aux thuriféraires du racisme systémique, un concept bidon où, rappelons le, c’est le système lui-même qui a été construit pour être raciste. Si, à Joliette, aucun employé n’avait été Québécois, blanc, Mme Echaquan aurait quand même supposément succombé à son séjour à l’hôpital, puisque c’est le système hospitalié de Joliette lui-même qui est raciste, même si tous les employés avaient été des Amérindiens. On en conviendra, voilà un concept bidon.

M. Legault, je vous en prie, tenez la barre pour les Québécois.

PLQ Delenda Est