Franchement, M. Bock-Côté m’étonne régulièrement par la qualité et la profondeur de ses arguments. Encore ce samedi, il dénonce les militants anti slāv qui ont insultés en anglais les spectateurs de cette oeuvre, qui osent réclamer en anglais la traduction des lois québécoises. Personnellement, le fait que nous tolérions dans nos rues ces ennemies du Québec démontre à quel point nous sommes tolérants. Tout autre peuple qui se respecte les aurait déjà déportés à coups de baïonnettes l’autre côté de l’Outaouais.
M. Bock-Côté, je vous enjoins vraiment à aller lire sa chronique, fait le parallèle avec le speak White que notre peuple a dû endurer si longtemps. Alors, pour mes lecteurs fébriles, j’ai pris le temps de photographier cette première édition officielle de speak White. Régalez-vous. N’hésitez pas à cliquer sur les photos pour les voir en plus grande définition.
PLQ Delenda Est