Du n’importe quoi

Radio-Canada, puis le devoir nous tiennent au courant d’une marche (d’une démarche) des non-binaires qui veulent pouvoir changer la déclaration de leur sexe biologique sur le certificat de naissance de leurs enfants. Quelle foutaise ! Il très frustrant, d’ailleurs, que ces médias ne remettent jamais en question cette propagande gogauche typiquement 21 siècle des mésadaptés de tout acabit.

Je vois plusieurs problèmes avec cette demande ridicule. Premièrement, admettons que l’on puisse être tolérant avec quelqu’un dont la personnalité ne ressent pas d’adéquation avec son sexe biologique et décide de changer leur expression de genre. C’est un choix personnel, ça, en théorie, n’affecte qu’eux. Cependant, un changement de sexe sur le certificat de naissance de leurs enfants, ce n’est plus un choix personnel — le certificat appartient à l’enfant. De plus, pour faire un enfant, biologie oblige, il faut un père biologique et une mère biologique. Développons cette dernière phrase. Il faut un être humain doté de gamètes mâles fabriqués par des gonades mâles qui les donne à un être humain femelle où ces gamètes mâles seront assemblés aux gamètes femelles fabriqués par des gonades femelles. Le résultat de ce processus est un bébé humain (mâle ou femelle). C’est de la biologie de base. Pas de la psychologie d’inadéquation sexuelle entre un cerveau et un corp. Cette inadéquation n’a pas à apparaître sur un certificat de naissance.

Tout bébé humain a un père biologiquement mâle — ayant fait dont de gamètes mâles — et une mère biologiquement femelle — ayant reçu lesdits gamètes mâles. C’est ce que le certificat de naissance officialise au niveau légal. Nul besoin de changer ce document juridique pour accommoder le mal-être des lgbtq+*&% de ce monde.

J’aimerais aussi dénoncer cet argument débile :

« Chaque fois que les actes de naissance nous sont demandés, on est immédiatement outer (sic). Mes enfants n’ont pas la possibilité de passer inaperçus. »

J’ai moi-même deux enfants et sérieusement, leur certificat de naissance et moi n’avons jamais été dans la même pièce hors de la maison. Généralement, on transmet une copie par courrier ou courriel. Jamais, je n’ai eu à aller dire : «Oui, oui, le père là, c’est moi». De plus, clairement, quand le petit se présentera avec deux mères à l’école, dont une qui ressemble (c’est plus souvent le cas qu’autrement) à Hécatombe Susure, là, clairement, le père — mal dans sa peau — sera outer.

PLQ Delenda Est