Contribution à l’histoire du Québec

Un ami à moi m’a autoriser à prendre des photos d’un manifeste de l’ALQ, armée de libération du Québec, qu’il a trouvé un jour chez Raoul Roy où il est allez racheter, je crois, des livres après sa mort. Ce sont donc des photos d’un original ronéotypé datant de 1964, année de la visite de la reine Elizabeth II au Québec. Le samedi de cette visite, porte le nom de samedi de la matraque.

Voici ce que mon ami en a dit sur Facebook :

manqué une belle occasion de contribuer davantage à l’histoire du Québec : j’ai en ma possession un manifeste inédit du FLQ, un tract ronéotypé de 1964, document trouvé dans les archives éparpillées de Raoul Roy.
Curiosité supplémentaire , ce tract était adressé, entre autre, à Hubert Aquin.
Félix Rose qui est documentariste, ne connaissait pas l’existence de ce document.
Si nous réussissons à écouler l’actuel tirage du Québec en révolutions, nous y ajouterons, en supplément, ce document inconnu des historiens.

Voilà donc les photos du manifeste.

Comme il est parfois difficile à lire, j’ai pris la liberté de le transcrire. Je l’ai fait verbatim. En espérant que ça vous plaira. Si vous préférez que j’ajoute ou je le change pour le texte au long sans changement de ligne ni format, faites-le moi savoir.
Page Un, Page Deux, Page Trois et Page Quatre.

Picasso avait de la prescience

Je suis allé visiter l’exposition Picasso et les arts premiers. Plusieurs choses m’ont marquées, j’y reviendrai, mais discutons-en de deux maintenant. Le but de l’exposition est d’exposer, — dénoncer —, ~~l’appropriation culturelle~~ l’influence des arts premiers africains sur l’évolution de Picasso.

Première constatation, si les demeurés de Concordia avaient eu leur mot à dire, Picasso et ses potes qui ont créé tant de mouvements artistiques si intéressants au début du vingtième siècle, n’auraient jamais pu faire leur travail. Et on aurait toujours le droit à de l’art académique ; ou pire, de l’art style faculté d’art de Concordia.

Seconde connotation, Picasso en était déjà très conceitn. Voici une citation bien en exergue au musée :

L’art n’est pas chaste, on devrait l’interdire aux ignorants innocents, ne jamais mettre en contact avec lui ceux qui y sont insuffisamment préparés. Oui, l’art est dangereux. Ou s’il est chaste, ce n’est pas de l’art.

La seule chose qu’il n’avait pas prévue c’est le retour du despotisme intellectuel style fasciste, mais dans le cadre universitaire ; clairement * ignorants innocents* s’applique bien aux étudiants de Corcordia.

Après McGill Français, il faudrait bien faire Concordia Français et bouter hors du Québec tous ces immigrants qui vont présentement à Concordia et qui méprisent ouvertement le Québec.

PLQ Delenda Est.