Impolitesse des gens de la construction

J’ai toujours trouvé frustrant le travail des gens de la construction qui s’arroge le droit de se réserver une voie pour stationner leur fourgonnette hyper-gourmante en essence et ainsi bloquer de précieux espaces de stationnement pour l’automobiliste commun. L’honnête citoyen, lui, doit payer son stationnement quand il doit aller voir un client ou travailler pour la journée. Mais pour les gars de la construction, il n’y a que le prix des cônes orange, probablement déductible d’impôt. Et bien, apparemment, je ne suis pas seul à l’avoir remarqué. Loïc Tassé a publié dans le Journal de Montréal un questionnaire fictif pour entrepreneur. L’une des questions décrit très bien ma frustration :

1) En ville, pour vous rendre au travail vous allez :
a) Utiliser le vélo.
b) Utiliser les transports en commun.
c) Utiliser votre auto et vous garer dans un stationnent payant, comme tous le monde.
d) Créer des espaces de stationnement gratuits au milieu de la rue pour votre auto et celles de vos collègues parce que vous estimez que vous êtes au-dessus des lois de la circulation.
Réponse : d

PLQ Delenda Est.

Non, ce n’est pas un droit

J’ai terminé de lire le dernier livre de Mathieu Bock-Côté « L’empire du politiquement correct« . J’ai adoré le premier chapitre qui résume très bien où j’en étais rendu et pourquoi j’ai cessé d’écouter la radio de Radio-Canada et même de lire le devoir :

La promotion de l’idéal diversitaire justifie un harcèlement médiatique permanent pour amener les populations à s’y convertir et pour identifier ceux qui résistent à ses sirènes. Il est même nécssaire de heurter le sens commun, de le déstabiliser et lui faire perdre toute valeur d’évidence, pour qu’il ne subsiste qu’à la manière de stéréotypes à congédier et de pro-jugés à déconstruire — cela permettra de démasquer ceux qui sy attachent exagérément.

J’en avait plein mon casque qu’on fasse les nouvelles à chaque fois qu’un fait divers concernant ces anormaux (lgtbqu+i) se produisait quelque part dans n’importe quel pays pourri : légalisation du mariage homosexuel, premier mariage gay 10 minutes plus tard, arrestation d’un transsexuel … (quelques exemples 1, 2, 3, 4, 5). De plus, j’ai de la difficulté à comprendre à qui ces médias s’adressent. En tant que tronche qui a fait génie en herbe, je connais tous ces pays pourris, ainsi que leur capitale, leur monnaies, religions et tout le bataclan. Et ces nouvelles ne m’intéressent pas. Imaginez les ploucs qui ne savent même pas sur quel continent pourraient bien se situer ces pays insignifiants.

Voici un autre exemple de ce tapage médiatique. Non seulement il faut endurer le défilé de la fierté, mais il y a en plus une marche trans — bordel, ils ne sont jamais satisfaits — où on réclame un meilleur accès au soin pour les trans. Simonak, tous les citoyens réclament (merci à Christian Saint-Germain)un meilleur accès aux soins. D’ailleurs, en essayant de retrouver cet article, je suis tombé sur la page de toutes les nouvelles concernants ces communautés ; facinant d’insignifiance.

Soit M. Bock-côté a raison et nous subissons une campagne de propagande (de rééducation forcée) de la part du média fédéraliste officiel où Radio-Canada est aux homosexuels ce que le PLQ est aux non francophones.

PLQ Delenda Est