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Leçon de la coupe du monde 2018

Je ne suis pas le premier à tirer cette conclusion, mais il faut le répéter. J’aime bien regarder le foot en coupe du monde et nous avons le droit à une belle édition. Les quarts de finale viennent tous juste de se terminer avec la petite Croatie (quatre millions d’habitants) qui vient de sortir la très grosse Russie (145 millions). Bravo aux Croates de bien envoyer promener Poutine chez lui. Cependant, ce n’est pas mon propos. C’est le Québec et les Québécois qui devraient tirer une leçon de cet exploit. En quart de finale, quelques petits pays, plus petits que le Québec ou à peine plus gros ont fait très bonnes figures : Croatie, Suède (10 millions), Uruguay (3,3 millions), Belgique (11 millions). Si on remonte aux huitièmes de finale, d’autres petits font très bien. Pensons à l’Islande qui a très bien jouée (350 000 habitants, un dixième du grand Montréal batêche ! ).

Bon, je ne crois pas trop aux chances du Québec à la coupe du monde de foot, mais pourquoi pas. Cependant, aux championnats mondiaux de hockey, nous aurions certainement notre chance. En plus, cette présence serait une belle vitrine pour nos joueurs qui ont de la difficulté à se faire recruter par la LNH parce que celle-ci est carrément francophobe (pensons à Martin Saint-Louis — quel beau nom).

Allez les Bleus (Québec ou France).

PLQ Delenda Est

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Appropriation culturel, mon oeil.

Je voulais écrire pour dénoncer comme un peu tout le monde la lâcheté et la stupidité qui entourent le spectacle Slav. Mathieu Bock-Côté (un, deux) et Joseph Facal s’en chargent très bien sans moi. Au minimum, je peux leur faire de la publicité.

J’aimerais ajouter quelques commentaires mordants. M. Bock-Côté nous rappelle que le Québec n’a pas à avoir honte de son passé et que les rares esclaves noirs que nous avons eus étaient des curiosités qui servaient de majordome. Il faudrait aussi rappeler à tous ces extrémistes anti-occidentaux que les noirs n’ont pas l’exclusivité des souffrances dues à l’esclavage. L’occident pendant des siècles a souffert de la traite des blancs faite par les maures. Cette traite continuerait de nos jours selon certains, elle concernerait surtout les femmes qu’on force à la prostitution et pas que dans les bordels occidentaux.

J’ajouterais encore que les blancs occidentaux n’ont pas l’exclusivité de la dégueulasserie et du mauvais sens moral. Soit, les blancs ont fait la traite des nègres pour alimenter leurs colonies en ouvriers forcés. Mais, ce sont surtout les marchands arabes qui leur revendaient les esclaves qu’un voisin avait capturés pour leur revendre. Oui, oui, le futur esclave était généralement capturé par un voisin proche, ou même un membre de sa famille, pour être revendu à un caravanier qui le revendait dans les comptoirs occidentaux. — Comportement qui persiste en Chine où les petites filles sont régulièrement kidnapées par un voisin pour être revendues à l’autre bout du pays. — Les Occidentaux ont rapidement compris qu’il était moins épuisant et moins dangereux d’établir des comptoirs faciles à défendre en bord de mer que de mener des expéditions pour aller capturer sur son propre terrain le futur esclave.

Hmmm. Qui est le plus dégueulasse dans toute l’opération ? Le négrier occidental, arabe ou africain ?

Finalement, j’abonde dans le sens de M. Facal qui nous dit que tous ces hurluberlus qui prétendent qu’un blanc ne peut pas participer à ce spectacle sous peine d’appropriation culturelle sont des fascistes. Les nazis travaillaient très fort pour ne pas utiliser sciences et techniques qui leur semblaient impures. Un exemple que j’adore est leur tentative d’utiliser l’homéopathie au lieu de la médecine moderne ; médecine vue comme une science juive et bolchévique (je ne retrouve plus la référence que j’ai en tête dans mes piles de magazines d’histoire). C’est de la non-appropriation culturelle, tout simplement. Ce qui nous arrive me semble encore pire, puisqu’on essaie de nous imposer la non-appropriation culturelle.

Mon dernier coup de gueule ira à dire que les occidentaux font tous et sont curieux de tout. Vous chercher un spécialiste du coran qui peut vous identifier la provenance et la décennie où a été publiée une édition particulière. Allez voir en France. Vous cherchez un spécialiste des civilisations chinoises antiques qui reconnaît un atelier au grain de la céramique d’une potiche ? Allez voir aux É.-U.. Les meilleurs sont toujours en occident, parce que nous sommes légitiment curieux et amoureux de tout ce qui mérite d’être connu et que nous écrivons tout. Voilà.

Au final, tout ça est bien triste, puisque Mme Bonifassi fait un beau travail depuis plusieurs années pour populariser ces chants et nous sensibiliser à l’histoire des noirs d’Amériques. Allez lire la critique de Sylvain Cormier dans le devoir, ça vaut la peine.

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Une belle matinée au parc

Je suis allé faire un tour dernièrement sur le mont Royal pour accompagner ma femme qui voulait aller prendre une marche. N’étant pas trop sportif, j’ai préféré m’asseoir sur un banc et regarder les badauds. C’est un parc magnifique, j’aime ses sculptures, très modernes ; son chalet du lac des castors ; son belvédère qui offre une vue splendide sur le centre-ville. Les travaux de rénovation du lac ne sont pas trop mal. J’ajouterais cependant un pont entre la cascade et l’étang – tout le monde aime les ponts. Des carpes dans l’étang seraient aussi les bienvenues.

Seul problème : que ce parc est difficile d’accès. De chez-moi, on a le choix entre 20 minutes de voiture ou 60 minutes de transport en commun. Hmmm, une marche d’une heure peut se transformer en une expédition d’au moins trois heures. Rendu là, aussi bien aller marcher sur le mont Saint-Hilaire. Tant qu’à y être, je propose le parc de la petite rivière du nord à Saint-Jérôme, ce n’est pas trop loin, le parc des sept-chutes à Saint-Zénon de l’énergie pour les plus en forme ou le parc de la rivière doncaster.

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Voluptés terrestres (pour le public cible)

J’ai eu la chance d’être invité à l’ordination diaconale d’une ancienne connaissance. La cérémonie a eu lieue à Gramby. J’ai pris mon courage de montréalais à deux mains et j’ai quitté le confort de ma ville pour affronter le trafic à l’heure de pointe pour aller à Granby. Première constatation, les gens de la banlieue ne doivent pas être bien dans leur tête à faire l’aller-retour 5 jours par semaine dans le trafic.

Je suis arrivé un peu à l’avance pour la cérémonie ; je déteste être en retard. Une chance, car un cœur africain chantait des chants religieux. La directrice du cœur avait bien du mal à attirer l’attention de la foule qui bavardait gaiement en attendant la cérémonie, s’embrassait à qui mieux mieux et passait un bon moment social après une dure semaine de labeur. Déjà, ça change de la messe à Montréal où tout le monde est bête et les églises plutôt vides. Ici, c’est plein et les gens sont heureux d’y aller. Bref, une ambiance fort sympathique et bon vivant.

La messe a été d’une longueur remarquable. Plus de 2 heures. Heureusement pour moi, je suis patient et j’aime bien ce spectacle. Et cette fois-ci, ça valait la peine. Seul un évêque peut mener cette cérémonie. L’évêque du coin y était donc, avec mitre et crosse, ainsi qu’une procession de prêtres et de diacres. Un beau spectacle qu’on ne voit plus très souvent. On a eu le droit à la litanie de saint, une prière fort envoûtante (je l’ai dit dans le titre, pour une fois, je suis le public cible).

Ma plus agréable surprise s’est produite vers la fin. L’évêque a présenté un jeune homme dont il avait accepté la demande pour étudier au séminaire. La foule a simplement explosé en applaudissement joyeux. Même l’évêque en fut un peu surpris et demanda à ses oilles si elles souhaitaient entendre son nom (le nom du futur séminariste).

Finalement, une soirée bien rafraîchissante pour le vieux Montréalais cynique que je suis.

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Encore les méchants Occidentaux

Radio-Canada nous sermonne à nouveau (Être réfugié, ce n’est pas être criminel) et essaie de nous convaincre que les immigrants ne sont pas méchants.  Les méchants, c’est nous, car nous ne voulons recueillir les réfugiés chez nous.  On nous présente le cas d’Alen, un fuyard d’Irak qui aurait quitté son pays car on aurait menacé sa vie.  Ce monsieurs  nous dit «Je ne peux pas tout vous raconter», nous ne pourrions probablement pas le supporter, j’imagine ;  je crois plutôt qu’il n’a rien subi.

Admettons que ce monsieur dise vrai et bien moi, contrairement au titre, je prétends que ce monsieur est un criminel.  Un criminel moral.  Il a étudié les droits de l’homme et ses supposées croyances sont en danger en Irak.  Que fait-il ?  il fuit.  Apparemment, il n’est pas prêt à défendre ses convictions avec sa vie.  Il préfère venir ici et voter pour envoyer de bons citoyens québécois faire la guerre contre Daesh.  Pourquoi lui se mettrait-il en danger ?  Pourquoi défendrait-il avec sa vie sa famille ?  Pourquoi ne participerait-il pas à la guerre civile qui enflamme son pays ?  Apparemment, parce que ce monsieur réussissait bien sa carrière d’avocat, qu’il s’enrichissait et qu’il ne souhaite pas abandonner son train de vie, voilà pourquoi.  Ce monsieur est d’autant plus minable qu’il n’a pas de famille avec lui.  Il est venu ici seul.  Méprisable !  Mais les méchants, ce sont les occidentaux selon radio-canada.

Pour toutes les saintes nitouches qui me trouvent méchant dans mes propos, je vous enjoins d’aller ouvrir quelques livres d’histoire et d’imaginer ce qui se serait passé si dans les guerres civiles du passé, tous les gens de conviction avaient fui au lieu de se battre.  Imaginez le résultat de la guerre de sécession américaine si les nordistes avaient fui après les débuts catastrophiques pour leur camp de cette guerre.  Le sud en serait-il sorti vainqueur ?  Autre argument contre les réfugiés politiques.  Regardez ce qui s’est passé ici après la guerre d’indépendance américaine.  Les loyalistes qui n’ont pas accepté la défaite ont migré vers le nord et nous ont retiré nos droits.  Nous, les Québécois, souffrons encore aujourd’hui de cet important mouvement de population anglophone, anticatolique et francophobe qui nous a minorisé sur notre propre territoire.  Comment croire que cet afflux massif de musulmans ne changera pas notre société ?  Pour le pire ?

Prenez les propos, recueillis par Christian Rioux, ses articles devraient être de lecture obligatoire dans les écoles secondaires et les CEGEP, de cet imam pakistanais : «Il faudrait poser une limite au blasphème. Il faudrait l’interdire».  Ne croyiez pas que ce soit hors contexte, on parle des caricatures de Mahomet publié au Danemark il y a quelques années.  Comment ne pas s’insurger contre cette remarque  ? Comment des étrangers peuvent-ils venir dans nos pays et nous demander de maintenant considérer blasphématoire ce que l’islam juge blasphématoire  ? Voilà un changement de société inacceptable.  Je pense que cet imam fait l’apologie du terrorisme et devrait être expulsé du Danemark ou envoyé en prison jusqu’à la fin de ses jours.

Plus loin dans l’article on a la citation suivante : « Impossible de retourner au Soudan, clame Asmaa, car les femmes y sont des « citoyennes de seconde zone». Mais nous faudrait-il recueillir toutes les femmes de la planète ?  Tous les pédés, les adolescents divergents qui veulent changer de sexe ? Les avocats au riche train de vie qui ne souhaitent pas le perdre ? Combien de ces immigrants pouvons-nous accueillir et toujours avoir l’impression de vivre au Québec  ? Allez lire les trois articles de Christian Rioux sur le Danemark (un,deux et trois), ils sont vachement intéressants.

Plus loin une autre dame nous dit que les immigrants que nous accueillons aujourd’hui sont les mêmes qu’il y a 20 ou 30 ans.  Qu’il nous faudrait arrêter de penser que les immigrants d’aujourd’hui sont différents et plus dangereux que ceux d’antan.  J’aimerais juste poser la question : Mais comment diable se portent tous ces immigrants dans les banlieues merdiques de Paris, Londres, Berlin, Toronto et park extention ?  La vie de ghetto se passe bien.  L’intégration est réussie ?  Pourquoi ne pas continuer dans cette direction ?  Tout va pour le mieux dans ces ghettos. En réalité, l’immigration d’aujourd’hui est pire que celle d’antan. Ça promet pour dans 20 ou 30 ans.

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Allez l’Autriche

L’Autriche a décidé de sévir et de fermer des mosquées qui travaillent contre leur pays d’adoption et de déporter des imams radicaux. Et bien bravo ! J’ai bien hâte qu’on en fasse autant ici. L’Autriche, beaucoup de défenseurs des islamistes ne le savent probablement pas, est la dernière nation occidentale à avoir dû résister aux ultimes coups de boutoir ottomans et ce, mêm après que l’occident n’ait pris définitivement l’ascendant sur le monde. Imaginez, Vienne est au coeur de l’Europe, elle n’est même pas à 1000 km de la France. Les Autrichiens n’ont pas le luxe d’être aussi naïfs que nous, ils se doivent de s’attaquer à leur cinquième colonne.

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Déportez les à Kaboul !

Je n’ai aucune affection pour les policiers. Plutôt le contraire, je crois qu’ils sont dangereux. Un pouvoir parrallèle qui met constamment en danger notre démocratie. Ils ne sont clairement pas là pour nous protéger. Après tout, ils tuent les sans-abri sans vergogne – utilisent des armes pour maîtriser des dérangés alors qu’ils sont grassement payés pour encaisser les coups. Ils suivent aussi des cours d’arts martiaux pour maîtriser les dangereux ; quelques séances de Jiu Jitsu permettent de se mettre en confiance et de gérer la plupart des situations.

Ils ont tabassé notre belle jeunesse pendant des semaines sans aucune rancune, tiré sans contrôle avec des armes cinétiques, foncé dans les étudiants avec des véhicules automobiles – oui, oui, vous avez bien lu -, attaqué des journalistes à cheval. Bref, ce sont des fous dangereux et ils le sont avec l’accord des libéraux.

Encore une fois cette semaine, ils ont agressés d’honnêtes citoyens. Même si ces citoyens n’avaient pas été parfaitement coopératifs, selon la version du spvm, comment cette non-coopération peut-elle mériter cette violence ? Il me semble que le principe de proportionnalité devrait être appliqué. De plus, même si le conducteur avait été récalcitrant, la sale brute du spvm a copieusement aspergé de poivre les deux occupants de l’automobile. Imaginez qu’afin de stopper un voleur fuyant dans une foule, notre abruti tire avec son pistolet dans la masse et blesse, ou tue, un quidam. C’est un peu ce qui s’est passé, mais avec une autre sorte d’arme.

Pour ajouter l’injure à l’insulte, alors qu’ils maîtrisent à la manière spvm le conducteur, incommodé par les passants qui filment la scène, ils rejouent de la bonbonne de poivre et arrosent le cinéaste et ses voisins. Comment pouvons-nous accepter collectivement ce comportement ? Les curieux n’ont commis aucun crime autre que celui de fixer pour la postérité ceux du spvm. N’oublions pas que le service de police de Montréal est un habitué du crime organisé et n’a pas hésité, par le passé, à assassiner de manière systématique les éléments qui le dérangeaient. Nous ne pouvons lui faire confiance.

Je demande l’arrestation immédiate des participants à cette débauche de violence. Je demande qu’ils soient jugés et envoyés faire la circulation à Kaboul. Je demande aussi qu’on désarme les policiers, ils n’ont besoin que de leurs mains pour faire leur travail. Jamais, sauf dans les cas de terrorisme et de braquage,et encore, devraient-ils avoir accès à une arme quelconque.

Autre point positif pour un parti qui déciderait de nommer un protecteur du citoyen dont la mission consisterait aussi à nous protéger des policiers, je pourrais être tenté de voter pour ce parti, quel qu’il soit. Il faut aussi que le procureur de la couronne commence à faire son travail et porte plainte de manière plus systématique contre les policiers.

PLQ Delenda est.

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Les cons me font braire

J’ai pris un certain temps ce soir pour lire la production considérable d’un bon ami à moi sur Facebook. Il écrit très bien, plusieurs observations sont jouissives. Comparer ma plume d’ingénieur mal dégrossi à la sienne m’enlève sérieusement le goût d’écrire ; n’ayez crainte, chers deux lecteurs non-récurants, je persévérerai. Ce qui me chagrine, me soûle, me déprime au plus haut point ce sont les commentaires tous plus débiles les uns que les autres. Comment se fait-il que ces abrutis ressentent le besoin de flétrir par leurs âneries les textes bien ficelés de mon ami  ? Je vous laisse sur cette perle de médiocrité inutile hors contexte d’un pseudo-intellectuel sinisant à la mode capitalistico-maoïste (que je les hais) :

Les convictions, c’est l’anti-spiritualité non ? Soyons plus chinois ; un intellectuel courageux c’est d’abord celui qui est prêt à se remettre en question, et (sic) ses convictions par ricochet.

PLQ Delenda Est.

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Le parti de la Révolution tranquille

Certains membres du PLQ aiment mentionner que le PLQ est le parti de la Révolution tranquille. Et bien, je ne conteste pas l’historicité de cette affirmation. Je ne conteste pas plus le fait que le parti républicain aux É.-U. est le parti de Lincoln. Mais clairement, un parti peut changer.

PLQ Delenda Est.

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Merci M. Philpot

M. Philpot, auteur de quelques très bons livres, dont le référendum volé y est allé d’un billet contre l’infâme Jean Chrétien qui prenait le temps de continuer à trahir son propre peuple et à défendre la partition du Québec dans le devoir du samedi 2 juin.

J’aimerais ajouter à l’argument de M. Philpot. Si on peut partitionner le Québec après un vote d’indépendance, mais où s’arrête donc ce droit à la partition ? Aux régions, aux villes, aux lopins de terre. Puis-je me séparer dans mon condo immédiatement du Canda ? Diantre que j’aimerais ça. Mais que je sache, ce droit s’arrête à la plus petite unité de souveraineté locale organisée. Et au Québec, c’est l’état du Québec, les villes étant des créatures provinciales. Des amis avocats férus de droit international me diraient que la souveraineté est aussi définie par la capacité à exercer cette souveraineté. Bref, comme d’habitude, M. Chrétien dit des âneries qui ne valent pas le papier sur lequel elles sont imprimées. Honte au Devoir de les publier.

PLQ Delenda Est.