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La haine des gauchistes et le racisme des immigrants

Mathieu Bock-Côté nous parle ce matin de la haine des gauchistes. J’aimerais ajouter mon grain de sel dans le même sens.

J’ai eu la chance de cotoyer beaucoup de Vietnamiens dans ma vie. Au secondaire, un de mes meilleurs amis était vietnamien et j’ai passé de nombreuse journée chez-lui à regarder des séries chinoises importé en VHS de Honk Kong, à jouer au Majong et à bouffer des bbq viettamiens où j’étais le seul blanc. Plus tard, j’ai vécu 6 ans avec une jolie Vietnamienne à qui j’aurai bien fais plusieurs enfants si elle n’avait pas choisi d’aller voir ailleurs si je n’y étais pas. Tout ça pour dire que j’ai eu un accès prévilégié aux Vietnamiens du Québec. Et bien Québécois, sachez que le mot officiel pour nous nommer chez les vietnamiens est « Barbare« . Et non, ce n’est pas un accident, le mot est choisi car les vieux Vietnamiens nous considère comme des Barbares ; ils n’ont d’ailleur pas complètement tort.

Je ne dénonce pas ici les les vietnamiens, des immigrants qui s’intègrent bien au Québec et que j’affectionne, mais bien les abrutis de la gauche qui ne connaissent rien (« you know nothing John Snow« , je me comprends) mais qui voudraient nous faire la morale. En passant, les Vientnamiens détestent les noirs qu’ils considèrent être des singes, détestent les Chinois pour des raisons évidentes et ont peu d’affection pour les Laosiens et les cambogiens qui auraient l’esprit un peu lent parce qu’ils mangent du rie gluant (miam). Mais à écouter la gaugauche — les bobos —, les blancs ont l’exclusivité du racisme et des préjugés.

Si les vietnamiens, qui sont les plus doux et les mieux intégrés des immigrants asiatiques nous méprisent, imaginez ce que pensent de nous les Chinois, les arabes ? des immigrants autrement plus aggressifs ?

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Une véritable invasion

Nous sommes allés jouer en famille à Lazer game durant les fêtes. Entre les parties, les participants reviennent dans la salle commune où, dans une atmosphère bonne enfant ou tout le monde crie et est bien contant de sa propre performance, les moniteurs nous remettre notre feuille de statistiques en criant nos noms.

Après une partie, nous nous réunissons dans la salle principale, mais soudainement, on ne peut plus crier et les moniteurs chuchotent nos noms. Je suis sur le coup un peu perplexe et soudainement je remarque à la mezzanine, qui est ouverte, qu’il y a un paquet de musulmans en train de prier. C’est pour eux que nous ne pouvons plus nous éclater comme au paravent. De surcroît, c’est le jour de Noël. Aucun respect ces musulmans.

On ne devrait plus en laisser entrer un seul au Québec.

Des terroristes s'appropriant un lieu public pour prier.
Des musulmans s’appropriant un lieu public pour prier.

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Rare apparition

J’ai envie de fournir quelques liens aujourd’hui :

  • Lise Ravari nous parle du nouveau parti islamique en Ontario. Je suis bien d’accord avec elle et sa métaphore sur l’excision. Personnellement, j’interdirais le voile partout, sauf à la maison. Cependant je ne suis pas d’accord avec son évaluation de l’invasion musulmane. Comme je l’ai déjà dit, l’islam nous fait par l’immigration ce qu’elle n’a pas pu faire par les armes pendant 1400 ans. Et comme des cons, nous nous laissons faire. Pour plus de détail sur l’ébauche de programme politique de ce parti, je fais référence – je ne l’aime pas beaudoup – à Richard Martineau.

  • Je suis partiellement d’accord avec Jean-Robert Sansfaçon. Semblable à Lucien Bouchard, il semble nous dire que nous ne travaillons pas assez. Pas assez d’heures, pas assez longtemps. Mais il me semble que ce sont des choix de société tout à fait louable. Peut-être faudra-t-il un jour l’accepter et cesser de tenter de rattraper l’Alberta est les É.-U. au niveau du nombre d’heures travaillées ( voir les arguments de Krugman : c’est le nombre d’heures de vacance et la retraite hâtive qui tire le PIB vers le bas).
    Voici son dernier paragraphe de M. Sansfaçon :

Puis il y a le décrochage scolaire à combattre par tous les moyens, surtout chez nos garçons, qui succombent plus facilement à la tentation de prolonger l’adolescence. Et finalement, la productivité des entreprises, qui accuse encore un retard important par rapport à tous nos concurrents. Une démarche qui se traduirait aussi, concrètement, par des augmentations de salaire dans tous les secteurs. Pourquoi pas ?

Je suis bien d’accord

  • Finalement, un petit lien rapide sur l’importance de ne pas comparer deux sociétés basé sur un seul chiffre. En gros, les Québécois seraient plus nombreux à travailler, mais chacun moins d’heures. C’est une manière de redistribuer la même richesse. Semaine moyenne au Québec : 35,1 heures de travail par semaine.

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On se rit de nous

J’écoute souvent Alain Gravel le matin. Le chroniqueur économique, René Vézina, se prononce souvent en faveur des immigrants, toujours en prenant bien le soin de dénoncer le supposé xénophobisme des Québécois. Cette semaine, ce monsieur nous expliquait que nous manquions d’immigrant pour combler tous les postes disponibles qui ne trouvaient pas preneur au Québec. Seuls les immigrants peuvent nous sauver de la catastrophe qui approche. Puis il ajoute que nous n’avons pas seulement besoin d’universitaire, mais aussi de soudeur. J’en suis tombé en bas de ma chaise. ; ce qui est très dangereux en voiture lorsqu’on conduit, convenons-en.

Ce Monsieur devrait mieux s’informer, soudeur ne demande qu’un secondaire trois et est un cours d’éducation professionnelle très court (11 mois). Avons-nous vraiment besoin d’immigrant pour combler ces postes ? Ne ferions-nous pas mieux de former de bons Québécois ? Après tout, au moins 25% des québécois entre 15 et 64 ans n’ont pas d’emploi. Je suis certain que nous pouvons former quelques-uns des nôtres pour occuper ces bons emplois.

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La haine du Québec et de son peuple

Radio-Canada nous apprend, avec son empressement habituel à soutenir les immigrants, qu’un paquet d’organismes communautaires pro-immigrant traite la CAQ de raciste pour sa proposition d’exiger l’application de la laïcité vestimentaire pour les fonctionnaires en position de pouvoir. Par cette insulte, c’est tous les Québécois qu’ils insultent. Tel que je l’ai défendu cette semaine, plus de 90 % des Québécois (je rappelle ici qu’un Québécois est descendant des colons de la nouvelle France) ont voté CAQ. Les Québécois ont en grande partie voté CAQ pour se débarrasser des libéraux qui piétinais leurs aspirations identitaires à qui mieux mieux.

S’ils ne sont pas contents au Québec, l’Outaouais est à l’ouest par la 40, ou la 20.

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Il faut bloquer à tout prix le flot d’électeurs libéraux

Les deux chefs du PLQ et de la CAQ/ADQ se sont chamaillés sur le nombre d’immigrants. C’est bien rigolo, puisqu’on se chamaille pour une différence de 10 000 immigrants, soit une différence de moins de 20 pour cent (puisque, je crois, il en rentre bon an mal an plus de 50 000 officiellement, et ces chiffres ne comptent pas tous les illégaux qui vivent ici sans papier).

On ne peut qu’être d’accord avec M. Legaut qui dit qu’on n’a pas besoin de plus de travailleurs à 8$ de l’heure dans l’industrie du vêtement ou dans les Tim hortons (c’est moi qui cible ces industries ici). Le Québec a besoin de plus de travailleur spécialisé à 25 $ et plus de l’heure. Le Québec a surtout besoin d’augmenter sa productivité qui est en queue de peloton au Canada et qui augmente moins rapidement que le canada; voir ici : un, deux, trois. La solution passe par la formation et par l’automatisation et non pas par l’arrivée de nouveaux esclaves pour les sweatchshops tenus par des libéraux dans le quartier chabanel.

Il me faut le rappeler, pour une énième fois,— c’est la cause profonde de l’existence de ce carnet web,— que le PLQ de défend pas l’immigration pour stimuler l’économie, mais pour augmenter son bassin d’électeurs. Imaginez que la CAQ/ADQ forme le nouveau gouvernement. Au niveau d’immigration actuelle, le PLQ pourrait tranquillement attendre dans l’opposition de reprendre automagiquement le pouvoir dans 4 ans ; puisque 200 000 nouveaux électeurs seraient venu garnir ses coffres ; ceux-ci choisissant l’anglais et le PLQ dans une écrasante majorité toute stalinienne. L’immigration, trop nombreuse, a deux autres effets secondaires désastreux pour les Québécois : les salaires artificiellement bas et une pression sur l’immobilier qui fait grimper les prix. Remarquez l’effet dévastateur des deux affirmations précédentes : les salaires n’augmentent pas, ce qui rend l’entré sur le marché immobilier, qui atteint la stratosphère sur l’île de Montréal, impossible. Le premier effet, les bas salaires, avantage naturellement les pontes du parti libéral qui forment le gratin économique WASP du PLQ.

Pour la survie de la démocratie et du français au Québec, il faut limiter l’immigration aux immigrants qui viennent d’Europe ou aux immigrants chrétiens. Il faut contrôler les quantités. Il faut les franciser gratuitement, de force s’il le faut. Il faut leur donner des cours sur l’histoire du peuple québécois.

PLQ Delenda est.

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Il a l’air bien ce Wauquiez

Enfin quelqu’un qui dit exactement ce que je me tue, pas trop fort, à dire ici. Que la première raison pour refuser les immigrants n’est pas le racisme, mais la protection de notre civilisation. Et c’est ce qui est le plus important.

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Trudeau fidèle à lui-même.

Justin a fait à nouveau preuve de la profondeur de sa médiocrité aujourd’hui. Après qu’une citoyenne lui demande quand le fédéral remboursera les millions investis par sa communauté dans les immigrants illégaux, il répond :

Cette intolérance par rapport aux immigrants n’a pas sa place au Canada […] Vous n’avez pas votre place ici.

C’est le genre d’opinion qui m’énerve. Mais tous les citoyens n’ont-ils pas droit de parole ? Tous les citoyens doivent-ils accueillir à bras ouverts les immigrants ? Puis M. Trudeau continue :

Le Canada a été bâti par des vagues d’immigration qui ont été accueillies par les Premières Nations, qui nous ont montré comment bâtir une société forte », a-t-il ajouté, avant de lancer : « Madame, votre racisme n’a pas sa place ici.

Bon, plusieurs choses m’énervent ici et témoignent du manque de culture de M. Trudeau. Premièrement, mes ancêtres n’étaient pas des immigrants, mais des colons. Les Français qui sont venus en Amérique sont venus dans un pays où il n’y avait rien. Rien au sens européen ça va de soi : pas de route, pas de ville, pas d’industrie, pas de port. Rien. Il ajoute que les Européens ont été accueillis par les Amérindiens et je ne couvrirait même pas le reste absurde de cette phrase.

M. Trudeau devrait sérieusement se poser la question suivante : si les Amérindiens d’il y a quatre siècles étaient mis au courant de leur mise au rancart, de leur défaite, de leur génocide par les protestants et les Anglais, seraient-ils si généreux envers les premiers Européens qui arrivèrent en Amérique ? Ou nous auraient-ils accueillis à coup de tomahawk ? Poser la question c’est y répondre. M. Trudeau voudrait que nous répétions l’erreur des premières nations.

Finalement, traiter de raciste toute personne qui n’est pas en faveur de l’immigration est déplacé. M. Trudeau devrait se regarder dans le miroir. Je préfère être raciste qu’être un traître à mon peuple.

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La désinformation des médias

Radio-Canada nous informe que le «présumé», on y va avec des pincettes même s’il y a 50 témoins et des caméras qui ont filmé le tout, — il ne faudrait pas irriter les musulmans —, sera accusé de tentative de meurtre.

Deuxième paragraphe on nous dit :

Le Britannique de 29 ans accusé d’avoir commis mardi un attentat à la voiture-bélier ayant fait trois blessés devant le parlement à Londres a été inculpé samedi de « tentative de meurtre », a annoncé la police.

Puis au quatrième :

Salih Khater, un homme d’origine soudanaise habitant à Birmingham et accusé d’avoir précipité son véhicule sur des cyclistes et des policiers, comparaîtra lundi devant le tribunal de Westminster, à Londres, a précisé la police.

Trouvez l’erreur. Bref, on a tellement peur de sombrer dans le fascisme, qu’on n’ose même pas appeler un chat un chat. Ce n’est pourtant pas compliqué : un immigrant, probablement illégal, musulman, vient de commettre un autre attentat terroriste à la voiture bélier. Comme personne ne se rend jusqu’au quatrième paragraphe, la conclusion d’un tas de quidams sera que ce n’est pas un attentat islamiste. Et pourtant, s’en est un.

À bas le multiculturalisme niais.

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Enfin une consultation sur le racisme à Montréal

Je ne pense pas ce que vous croyiez. Enfin, une consultation sur le racisme systémique envers les Québécois dans leur propre métropole, voilà ce qui est nécessaire. En effet, j’espère qu’on traitera des sujets suivants :

Dernièrement, on a déboulonné une plaque commémorant une bataille entre Français et Iroquois parce qu’il était dit que Maisonneuve avait tué lui-même un chef iroquois. Vrai ou Faux, pas le droit de dire du mal des Iroquois (allié des nos ennemis de toujours). Cette semaine, la ville de Montréal nous apprend qu’elle ne retirera pas une statue vandalisée de MacDonald. Pourtant, ce M. était un incroyable anti francophone et anti catholique qui a systématiquement tout fait pour nous assimiler. Mais bon, ce n’est pas un francophone, alors pas touche. Voilà un exemple de racisme envers les Québécois.

La ville a décidé de précipiter la minorisation des Québécois dans leur propre métropole. On commence par déclarer Montréal ville refuge signifiant que tous les immigrants illégaux pourront maintenant venir vivre à Montréal sans contrainte. Mais, apparemment, ce n’était pas suffisant, on souhaite maintenant leur donner le droit de vote, question en plus de minoriser le pouvoir des Québécois dans leur propre métropole. Normalement, ne devraient voter que les citoyens ; je dirais même plus, que les citoyens nés sur le territoire du Québec. Comment peut-on penser que des gens fraîchement arrivés, qui ne parlent pas la langue, pourraient être à même de voter ?

Comment ne pas parler cette fascination qu’ont nos médias avec la diversité ? Pourquoi les immigrants seraient-ils représentés à l’hôtel de ville ou à l’assemblée nationale selon leur proportion ? Après tout, dans la vie, pour s’intégrer il faut des contacts, des relations. Comment des gens qui ne lisent pas nos journaux, n’écoutent pas notre télé, ne parlent pas notre langue pourraient-ils participer à nos débats ? Après tout, les jeunes aussi sont moins représentés à l’hôtel de ville et à l’assemblée nationale. Mais ça, on ne le remet en question que mollement, pas fondamentalement ; car on accepte que les jeunes n’aient pas assez d’expérience pour faire de la politique : il faut de l’expérience et des contacts deux choses que n’ont pas les jeunes. Comment peut-on sérieusement aspirer à devenir ministre à 18 ans ? Mais, apparemment, c’est d’être raciste (cette fois-ci contre les immigrants) que de croire qu’un immigrant fraîchement débarqué qui ne parle pas le français ne puisse pas être ministre. Je dénonce donc cette manière de penser et je la pointe du doigt comme étant du racisme contre les Québécois. On nous trouve tellement minables que le dernier immigrant illettré peut devenir ministre, mais pas nous.

Finalement, les dispositions favorisant l’embauche des immigrants à la ville nuisent aux Québécois. À chaque fois que je visite un ami travaillant à la ville à son bureau, je suis fasciné d’y voir le nombre d’immigrants. À vue de nez, plus d’un sur deux. Ce sont de bons emplois, bien payés, qui sont donnés en priorité aux immigrants. Certains d’entres-eux bien incapable d’écrire un document en français. La discrimination positive est dans les faits, une discrimination négative contre les Québécois chez eux.

PLQ Delenda Est.