Je suis débordé et j’ai peu le temps d’écrire. Mais là, il me le faut. Je dois dire que j’ai écrit ce texte il y a plusieurs jours et que j’ai hésité avant de la publier. Le voilà, il y aura une suite, forcée par les évènements.
Je vais commencer par une parabole. Soit un couple, dont la femme est acariâtre, crie de manière constante et invective son conjoint constamment au point où celui-ci pète les plombs et fou une bonne taloche à sa femme. Naturellement, cet homme est coupable d’avoir asséné une taloche à sa femme. Il aurait dû se contrôler et aller faire une marche. Mais, il est parfois difficile de garder son flegme lorsqu’on se fait engueuler. C’est selon moi une circonstance atténuante, circonstance qui n’élimine pas la responsabilité. La femme a-t-elle une part de responsabilité ? Je crois que oui. Si l’homme n’avait pas pété les plombs, tous s’entendraient pour dire que c’est une saprée folle et qu’elle a besoin de traitement ou d’un camisole de force. Malheureusement, trop souvent dans notre société, puisque quelqu’un a dépassé une ligne tracée dans le sable, la personne qui est la cause fondamentale de l’incident s’en trouve exonérée. Ceci m’apparaît parfaitement injuste.
C’est exactement ce qui se passe au Québec depuis la tuerie de Québec. Quelques citoyens d’ici pètent les plombs (ils étaient probablement déjà cinglés au départ pour faire une telle connerie). Sont-ils coupables ? Oui, bien sûr. Est-ce inacceptable ? Oui bien sûr. Ce que je ne comprends pas, c’est que toute la semaine, je n’ai entendu que des commentaires et des propos dans les médias (Radio-Canada et le devoir entre autre) à l’effet que le problème en est un d’accueil. Ce n’est pas un problème d’une minorité (les Arabes/musulmans) qui est incapable de bien s’adapter aux sociétés occidentales. Non, non, non, on rejette le blâme de tout cet évènement sur l’intolérance des Québécois aux femmes voilées (je caricature à peine).
Pourquoi n’entend-on jamais nos médias questionner cette minorité ? Pourquoi n’est-elle pas capable de s’adapter et de devenir de bon Québécois ? Pourtant d’autres communautés le font très bien ? Pensons aux Vietnamiens, aux latinos ? On en convient, il est difficile d’immigrer. Mais lorsqu’on quitte son pays pour aller dans un nouveau, forcément il faut s’adapter à ce pays d’accueil. On en apprend au minimum la langue et on respecte les meurs locales. Est-il normal que de supposés réfugiés qui quittent leur pays parce que la charia est un joug soi-disant insupportable viennent ici et portent la burka sachant qu’elle cause un inconfort marqué chez les gens du pays ? La réponse est clairement non, c’est anormal. La raison en est que ce ne sont pas des réfugiés, mais des gens qui quittent leur pays pour aller parasiter une société développée au lieu de participer à la construction de leur propre pays.
De plus, on a complètement oublié que l’islam est en guerre contre l’occident et que nous aurions pu être la cible d’attentats beaucoup plus meurtriers que celui commis à Québec et que plusieurs soi-disant citoyens musulmans sont parti combattre à l’étranger. Il faudra bien que nos élites acceptent un jour cette guerre qu’on nous a déclarée et choisissent de la mener. Il faudra entre autre arrêter de laisser croître la cinquième colonne qui sommeille en notre sein.
L’occident est envahi par l’islam, goutte à goutte. Vous croyez que j’exagère, ce n’est pas quelques petits milliers de musulmans par année qui peut nous envahir et changer à jamais nos sociétés ? Parlez-en aux Amérindiens. Ce n’est pas quelques petites centaines de Français et quelques miliers d’anglais maigrichons et mal outillés pour survivre à l’hiver qui pourraient nuire aux Amérindiens ? Et ben voilà. Si nous ne prenons garde, nos petits enfants vivront dans un monde bien différent, monde que nous ne leur souhaitons pas.
Le problème avec l’islam est qu’il est fondamentalement immiscible dans une société chrétienne laïcisée (et historiquement, avec toutes autres sociétés non musulmanes). Est-il normal que nous devions modifier nos menus et que les Québécois doivent faire des compromis alimentaires pour de nouveaux arrivant ? Non ! Je pose la question, combien d’immigrants devrions-nous accueillir et sommes nous capables d’accueillir sans que le Québec ne deviennent carrément un autre pays, un pays non occidental ? Jamais cette question n’est posée, par peur d’avoir à répondre, par nos élites libérales bien pensantes. Personnellement, je pense qu’à Montréal, certains types d’immigration sont déjà beaucoup trop importants par rapport à notre capacité à les assimiler et aux modifications qu’elles imposent à notre société. Tous les immigrants ne sont pas équivalents, contrairement à ce qu’on nous ressasse régulièrement dans nos médias trop politiquement corrects.
Personnellement, j’en ai bien peur, tout ceci finira dans une nouvelle Saint-Barthélémie. Partout en occident, la population qui digère mal qu’on ne l’écoute pas se rebellera et se retournera avec violence contre ces minorités. Et malheureusement, plein de bonnes gens paieront de leur vie l’aveuglement de nos dirigent qui ne comprennent pas que l’immigration est un problème.
Pour ce qui est des libéraux, ils préfèrent nier le problème. Ils sont très occupés à essayer de maximiser le nombre d’immigrants qui entre au Québec et à miniser leur intégration. Petit rappel au Québécois : 50 000 immigrants par annés, c’est un million sur 20 ans. Donc, depuis le référendum volé de 1995, c’est plus d’un million de nouveaux immigrants qui sont arrivés au Québec. Un million qui votera à 98 % Libéral et votera contre le Québec et le français à chaque chance qu’on lui offrira. Ce qui au bout de la ligne, fait le bonheur du plq.
PLQ delenda est.