Une autre bonne raison pour la séparation du Kanada

Cette semaine, un groupe de bons citoyens prend le temps de nous rappeler dans le devoir que les riches profitent toujours du laxisme du gouvernement fédéral et cachent leur fortune, à l’abri de l’impôt, dans les paradis fiscaux. On nous dit que le gouvernement québécois a fait quelques efforts pour récupérer des sommes par évitement fiscal depuis 2014, mais qu’il n’a rien fait pour sévir contre les fonds placés dans les paradis fiscaux — il préfère se fier au gouvernement fédéral. Comment s’en surprendre puisque le premier ministre libéral, M. Couillard, a longtemps caché des centaines de milliers de dollars dans un paradis fiscaux. Quelqu’un de raisonnable peut-il vraiment penser que ce multimillionnaire qui nous sert de premier ministre ne cache toujours pas d’argent dans les paradis fiscaux ? Rappelons-nous que les gens intelligents savent qu’il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. L’article du devoir ne parle que d’un paradis fiscal. Parions que M. Couillard, quelqu’un de prétendument intelligent, cache toujours beaucoup de sous ailleurs sur terre.

PLQ Delenda Est

Merci M. Facal

Joseph Facal prend le temps de dire ce que j’ose dire ici parfois, mais dans un grand média. Les immigrants ne régleront pas le problème du manque de main-d’oeuvre puisque ce supposé manque n’existe pas. Ils sont là pour le patronat (faire baisser les salaires) et le parti libéral (de nouveaux commettants tous neufs). S’il y avait un manque de main-d’oeuvre, les salaires augmenteraient. Ils n’augmentent pas. Le salaire médian n’a pas bougé vers le haut en occident depuis 40 ans ! Quarante ans !

J’aimerais ajouter à l’argument un livre qui devrait être de lecture obligatoire, suivi d’un examen, avant de permettre à tout journaliste d’écrire sur l’immigration. Le remède imaginaire, un livre écrit par un démographe et un philosophe.

C’est donc bien écrit et bien argumenté. Plusieurs arguments y sont soutenus. Premièrement, les immigrants ne sont pas mal traités. Après quelques années au Québec, un immigrant qui a un diplôme d’une grande université occidentale fait aussi bien qu’un québécois possédant le même diplôme. Comment conclure au racisme des Québécois à partir de cette donnée, je n’en sais rien.

Mais surtout, même en Ontario où le taux d’immigration est plus élevé qu’au Québec et où la mortalité des baby-boomers frappera moins fortement qu’au Québec l’immigration ne pourra empêcher le vieillissement de la population. Imaginez au Québec. De mémoire, les auteurs, n’oubliez pas que l’un deux est démographe, prétendent que pour inverser le vieillissement de la population au Québec, il faudrait multiplier par dix le nombre d’immigrants que nous accueillons. J’imagine que le patronat et le parti libéral seraient contents.

PLQ Delenda Est

Une réforme d’incompétent en limousine tout à fait normale.

Radio-Canada nous apprends qu’un cycliste a reçu 381 $ d’amande d’un abruti de policier sur zélé parce qu’il n’avait pas de réflecteur arrière, alors qu’il avait un phare clignotant, de réflecteur avant et pour des freins soi-disant défectueux.

Je ne remettrai pas en question ici la besoin de signalisation d’un vélo.  Je suis un usager multiple de la route.  Je marche beaucoup en ville, je me déplace beaucoup en vélo et je me déplace beaucoup en voiture.  Et lorsque je conduis ma voiture le soir, ou la nuit, je suis souvent surpris par l’apparition d’un vélo fantôme qui n’a pas de phare ou de réflecteur et dont le cavalier est vêtu tout de noir .  C’est en effet très dangereux.  Cependant, un phare peut, de toute évidence, remplacer avantageusement un réflecteur.  Ce policier devrait être démis de ses fonctions pour stupidité crasse ou envoyé à Kaboul pour y faire la circulation.

Mais le problème repose essentiellement sur une autre loi bâclée par les libéraux qui ont fait le choix de ne pas écouter les commentaires soulevés en commission parlementaire.  On a préféré taper sur les cyclistes pour les protéger plutôt que de modifier les habitudes des automobilistes.  Les libéraux, à force de se déplacer en limousine, oublient les besoins des vrais citoyens qui eux n’ont pas ce luxe.

Commençons par l’évidence.  Un automobiliste dont les phares ne sont pas fonctionnels recevra un avis à comparaître dans les 48 heures (le fameux quarante-huit heures) et démontrer que son phare a été réparé.  Pourquoi donc ne pas appliquer la même méthode à un cycliste ? Quarante-huit heures pour se pointer au PDQ et montrer que la pièce manquante a été installée.  On obtient tout de même une amélioration de la sécurité, on embête efficacement le cycliste, mais on est raisonnable dans la punition. D’autant plus que ce moyen de transport doit demeurer accessible aux citoyens qui n’ont pas les moyens de s’acheter une carte de métro.

Mais dans cette loi libérale, les associations de cyclistes n’ont pas été écoutées.  Que ce soit des équipements obligatoires pour leur monture, de l’obligation de rouler à l’extrême droite dans la zone propice aux emportiérages à l’autorisation de n’avoir qu’à ralentir à un arrêt. Rien n’a été intégré.

À bas les libéraux et leurs projets.  PLQ delenda est.

Catalan méfiez-vous des traîtres.

Le premier ministre, Philippe Couillard, a offert son aide aux Catalans pour ouvrir les discussions et dénouer l’impasse. Si j’étais Catalan, je me méfierais d’un premier ministre qui commet un acte de trahison envers son propre peuple. En effet, M. Couillard préfère encore prendre la défense des Canadiens au lieu de défendre le Québec et son intégrité territoriale. Il préfère dire, contrairement à tous les autres premiers ministres du Québec, que le territoire du Québec pourrait être cassé en morceaux dont certains resteraient au KKKanada advenant la souveraineté. Pourtant, le travail de Philippe Couillard n’est pas de faire avaler la couleuvre canadienne à tout prix aux Québécois, mais bien de défendre l’intégrité du territoire québécois et de son peuple. Cette tâche n’est pas parfaitement incompatible avec la notion de fédéralisme, mais jamais, au grand jamais, un premier ministre du Québec de ne devrait accepter ou défendre ou proposer que le Québec ne soit sécable.

Unissons-nous, capturons Couillard et jugeons le pour Haute-Trahison.

PLQ delenda est.

Une mauvaise conclusion

Je suis débordé et j’ai peu le temps d’écrire. Mais là, il me le faut. Je dois dire que j’ai écrit ce texte il y a plusieurs jours et que j’ai hésité avant de la publier. Le voilà, il y aura une suite, forcée par les évènements.

Je vais commencer par une parabole. Soit un couple, dont la femme est acariâtre, crie de manière constante et invective son conjoint constamment au point où celui-ci pète les plombs et fou une bonne taloche à sa femme. Naturellement, cet homme est coupable d’avoir asséné une taloche à sa femme. Il aurait dû se contrôler et aller faire une marche. Mais, il est parfois difficile de garder son flegme lorsqu’on se fait engueuler. C’est selon moi une circonstance atténuante, circonstance qui n’élimine pas la responsabilité. La femme a-t-elle une part de responsabilité ? Je crois que oui. Si l’homme n’avait pas pété les plombs, tous s’entendraient pour dire que c’est une saprée folle et qu’elle a besoin de traitement ou d’un camisole de force. Malheureusement, trop souvent dans notre société, puisque quelqu’un a dépassé une ligne tracée dans le sable, la personne qui est la cause fondamentale de l’incident s’en trouve exonérée. Ceci m’apparaît parfaitement injuste.

C’est exactement ce qui se passe au Québec depuis la tuerie de Québec. Quelques citoyens d’ici pètent les plombs (ils étaient probablement déjà cinglés au départ pour faire une telle connerie). Sont-ils coupables ? Oui, bien sûr. Est-ce inacceptable ? Oui bien sûr. Ce que je ne comprends pas, c’est que toute la semaine, je n’ai entendu que des commentaires et des propos dans les médias (Radio-Canada et le devoir entre autre) à l’effet que le problème en est un d’accueil. Ce n’est pas un problème d’une minorité (les Arabes/musulmans) qui est incapable de bien s’adapter aux sociétés occidentales. Non, non, non, on rejette le blâme de tout cet évènement sur l’intolérance des Québécois aux femmes voilées (je caricature à peine).

Pourquoi n’entend-on jamais nos médias questionner cette minorité ? Pourquoi n’est-elle pas capable de s’adapter et de devenir de bon Québécois ? Pourtant d’autres communautés le font très bien ? Pensons aux Vietnamiens, aux latinos ? On en convient, il est difficile d’immigrer. Mais lorsqu’on quitte son pays pour aller dans un nouveau, forcément il faut s’adapter à ce pays d’accueil. On en apprend au minimum la langue et on respecte les meurs locales. Est-il normal que de supposés réfugiés qui quittent leur pays parce que la charia est un joug soi-disant insupportable viennent ici et portent la burka sachant qu’elle cause un inconfort marqué chez les gens du pays ? La réponse est clairement non, c’est anormal. La raison en est que ce ne sont pas des réfugiés, mais des gens qui quittent leur pays pour aller parasiter une société développée au lieu de participer à la construction de leur propre pays.

De plus, on a complètement oublié que l’islam est en guerre contre l’occident et que nous aurions pu être la cible d’attentats beaucoup plus meurtriers que celui commis à Québec et que plusieurs soi-disant citoyens musulmans sont parti combattre à l’étranger. Il faudra bien que nos élites acceptent un jour cette guerre qu’on nous a déclarée et choisissent de la mener. Il faudra entre autre arrêter de laisser croître la cinquième colonne qui sommeille en notre sein.

L’occident est envahi par l’islam, goutte à goutte. Vous croyez que j’exagère, ce n’est pas quelques petits milliers de musulmans par année qui peut nous envahir et changer à jamais nos sociétés ? Parlez-en aux Amérindiens. Ce n’est pas quelques petites centaines de Français et quelques miliers d’anglais maigrichons et mal outillés pour survivre à l’hiver qui pourraient nuire aux Amérindiens ? Et ben voilà. Si nous ne prenons garde, nos petits enfants vivront dans un monde bien différent, monde que nous ne leur souhaitons pas.

Le problème avec l’islam est qu’il est fondamentalement immiscible dans une société chrétienne laïcisée (et historiquement, avec toutes autres sociétés non musulmanes). Est-il normal que nous devions modifier nos menus et que les Québécois doivent faire des compromis alimentaires pour de nouveaux arrivant ? Non ! Je pose la question, combien d’immigrants devrions-nous accueillir et sommes nous capables d’accueillir sans que le Québec ne deviennent carrément un autre pays, un pays non occidental ? Jamais cette question n’est posée, par peur d’avoir à répondre, par nos élites libérales bien pensantes. Personnellement, je pense qu’à Montréal, certains types d’immigration sont déjà beaucoup trop importants par rapport à notre capacité à les assimiler et aux modifications qu’elles imposent à notre société. Tous les immigrants ne sont pas équivalents, contrairement à ce qu’on nous ressasse régulièrement dans nos médias trop politiquement corrects.

Personnellement, j’en ai bien peur, tout ceci finira dans une nouvelle Saint-Barthélémie. Partout en occident, la population qui digère mal qu’on ne l’écoute pas se rebellera et se retournera avec violence contre ces minorités. Et malheureusement, plein de bonnes gens paieront de leur vie l’aveuglement de nos dirigent qui ne comprennent pas que l’immigration est un problème.

Pour ce qui est des libéraux, ils préfèrent nier le problème. Ils sont très occupés à essayer de maximiser le nombre d’immigrants qui entre au Québec et à miniser leur intégration. Petit rappel au Québécois : 50 000 immigrants par annés, c’est un million sur 20 ans. Donc, depuis le référendum volé de 1995, c’est plus d’un million de nouveaux immigrants qui sont arrivés au Québec. Un million qui votera à 98 % Libéral et votera contre le Québec et le français à chaque chance qu’on lui offrira. Ce qui au bout de la ligne, fait le bonheur du plq.

PLQ delenda est.

Régime des rentes du Québec

Jean-Robert Sansfaçon nous informe ce jeudi des plans de réforme du régime des rentes du Québec. Il m’offre une première opportunité de dénoncer les manoeuvres libérales.

M. Sansfaçon nous apprend que le gouvernement de voleur du PLQ prévoie réformer les régimes de retraite du Québec de manière plus faiblarde que les autres provinces et ne pas assurer ses responsabilités envers les retraités québécois, mais laisser celles-ci au gouvernement fédéral.

Grosso modo, le plq propose de ne pas adhérer au programme fédéral tel que proposé par Trudeau fils, mais d’instituer une autre version typiquement libérale québécoise qui appauvrirait les Québécois par rapport aux Canadiens. Couillard laisserait le fédéral assurer une plus grande proportion de la retraite des Québécois. Il diminuerait les cotisations, et donc les prestations, pour les pauvres et la classe moyenne. La classe des neurochirurgiens barbus n’étant pas concernée par les régimes de retraite et comptant plutôt sur ses économies dans les paradis fiscaux.

Ceci est très cohérent pour le PLQ. Le résultat net est de nuire aux souverainistes en attachant plus que nécessaire, et même demandé par Ottawa, les Québécois au Canada. On appauvri le Québec, ce qui donc lui enlève le goût de se séparer. On augmente le montant des chèques ayant une feuille d’érable distribués aux vieux plus que celui des chèques à fleur de lys. Vieux qui notoirement votent fédéral. On augmente l’écart entre les riches et les pauvres. Bref, une stratégie fourbe typiquement libérale. À bas le parti libéral.

PLQ delenda est.